Il faut souffrir pour être belle, mais à quel prix ? Ce court-métrage animé dénonce les dérives des normes de beauté crées de toutes pièces par les magazines et les publicités.
Dans son dernier court-métrage intitulé Supervénus, le réalisateur Frédéric Douazan s’est attelé à dénoncer les dérives des canons de beauté qui sévissent dans notre société. Pour lui, un gouffre existe entre la femme lambda et la représentation de la femme telle qu’on peut la voir dans les publicités, les magazines, etc.
On y voit une femme « ordinaire » qui se retrouve entre les mains d’un plasticien qui va complètement la transformer pour mieux coller aux normes de beauté modernes, et ce jusqu’à l’excès, de manière absurde. Exit les rides et les imperfections, les poils et les courbes généreuses, place aux seins siliconés, aux lèvres gonflées et aux pommettes rehaussées…
https://www.youtube.com/watch?v=9XVEuNpL-Y8
Et vous, qu’en pensez-vous ?
Flippant mais pas loin de la réalité..a force de vouloir ressembler aux canons de la beauté,la femme du début dite « lambda »qui se démarque et est unique et pas désagréable,finit par ne ressembler qu’a une poupée Barbie..mais je veux pas dévoiler la fin.Les excès de la chirurgie esthétique sont bien montrés du doigt.Ames sensibles s’abstenir ceci dit car certaines images sont choquantes et dérangeantes.Mais ca va faire de l’effet je pense,un coup de poing.Il nous faut un choc pour arrêter ces opérations de chirurige abusives..