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Accueil » Politique » Économie » FMI : non, l’économie n’est pas une science dure
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FMI : non, l’économie n’est pas une science dure

Simon BornsteinPar Simon Bornstein1 février 2023
FMI : non, l’économie n’est pas une science dure
FMI : non, l’économie n’est pas une science dure
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Dans un rapport publié le 3 janvier dernier, le principal bailleur de fonds de la planète, le FMI, a avoué son erreur sur l’évaluation de l’impact des politiques de rigueur. L’impact récessif d’une baisse brutale des dépenses publiques a été sous-estimé. En vérité, pas de quoi s’étonner. Cette institution prône depuis sa création la dérégulation des marchés. Tâchons plutôt d’enquêter sur le coupable plus que présumé : le néolibéralisme et son bras droit silencieux, la science économique moderne.

Pourquoi devrait-on s’offusquer devant l’affreux crime ? L’erreur est humaine nous dira t-on, mais elle est faute quand elle conditionne la destinée de peuples entiers. Depuis les années 1980, les prédictions des sorciers économistes sont écoutées comme l’équivalent d’une parole évangélique. Or, l’expertise économique doit être interprétée et relativisée pour ce qu’elle est, c’est-à-dire une construction intellectuelle avec ses opinions, ses aprioris et sa subjectivité. Les économistes jouent avec les chiffres comme ils jouent avec la déchéance des peuples par leurs prédictions. Les conséquences regrettables de cette erreur de calcul ont déjà été commentées. Tâchons plutôt de clarifier ce qui justifie qu’une telle erreur soit possible dans une institution aussi respectée et importante que le FMI.

L’alliance de la science et du discours

« Pourquoi devrait-on s’offusquer devant l’affreux crime ? L’erreur est humaine nous dira t-on, mais elle est faute quand elle conditionne la destinée de peuples entiers. »

Par définition, un modèle est donc une construction intellectuelle censée représenter l’interaction de millions d’individus. C’est-à-dire qu’il est une sorte de synthèse entre les faits tels qu’ils sont observés et la vision de l’économie qui sous-tend les motivations de l’auteur sur ce qui fonctionne ou non en économie.

L’exemple le plus parlant est celui justement sur lequel s’est trompé le FMI : le multiplicateur de la dépense publique. Selon que l’on se situe dans telle ou telle école de pensée, la dépense publique est soit un fardeau pour la croissance, soit un élément essentiel à la bonne santé économique d’un pays (sans parler de l’aspect social évident). Pour les économistes dits « keynésiens », une augmentation d’un point de PIB des dépenses publiques (ou d’une baisse équivalente des impôts) doit donner lieu à une augmentation du PIB de plus d’1%. De l’autre, de nombreux  économistes plus ou moins allergiques à l’État, qui doutent des capacités de la politique budgétaire à engendrer un effet positif sur la croissance du PIB. Évidemment la deuxième ligne de conduite l’a emporté autant au FMI, qu’à l’OMC, qu’à la Commission Européenne, et il n’en fallait pas moins pour que le multiplicateur devienne inférieur à 1 dans les modèles de prévision. C’est ainsi que petit à petit les défenseurs des politiques économiques publiques ont été mis au ban. Le graphique fait par l’équipe de l’OFCE, montre bien les énormes erreurs de prévisions à court terme des institutions internationales.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, la plupart des hommes politiques et des économistes admettent l’échec des politiques libérales qui ont suivi la crise de 1929. C’est alors que la doctrine keynésienne, qui promeut l’intervention de l’État dans l’économie lorsque le marché laissé à lui-même est incapable d’atteindre le plein-emploi, a emporté la bataille sur le champ théorique mais surtout politique. Cette victoire ne dura que trois décennies avant que la crise économique des années 1970 ne remette en cause le bien-fondé de ces politiques. La suite, tout le monde la connaît : au niveau universitaire, les monétaristes prennent le pas sur les keynésiens. Cette révolution opère un retour aux thèses néoclassiques du début du XXe siècle. Selon ce point de vue, la meilleure régulation possible pour l’économie serait le marché et la libre concurrence non faussée. Certains pensaient résister mais vendront en vérité leur âme au diable. Il s’agit de ceux que l’on nommera néokeynésiens et qui n’auront de Keynes que le nom. Ensuite, la Dame de Fer Margaret Tchatcher et l’acteur raté Ronald Reagan n’auront plus qu’à déblatérer ces arguments d’un autre temps pour justifier sur le plan politique un mouvement déjà amorcé dans le milieu universitaire.

« Il semble de plus que l’obligation des États de se financer sur les marchés financiers, soit corrélée avec la montée en puissance de l’influence de ces marchés sur les acteurs économiques. »

Le déroulement de l’histoire confirmera une nouvelle fois que le capitalisme dérégulé que nous connaissons est fauteur de troubles et incapable de résoudre les problèmes du chômage, d’une croissance équitablement partagée, sans creuser la dette publique et perdre de sa souveraineté nationale. Au contraire, le néolibéralisme a amplifié le phénomène qu’il était censé combattre. Le changement de doctrine opéré dans les années 1980 s’est étendu aux banquiers centraux, d’abord aux États-Unis et ensuite en Europe. Le taux d’intérêt est passé au-dessus du taux de croissance, entraînant ainsi un effet boule de neige et constituant l’élément déterminant de la montée de l’endettement. Il est donc devenu plus intéressant de gérer son portefeuille de titres que d’investir dans la sphère productive. « La rente a pris le pas sur l’entreprise » comme l’indique les économistes Bruno Tinel et Franck Van de Velde dans une tribune du Monde Diplomatique. Il semble de plus que l’obligation des États de se financer sur les marchés financiers, soit corrélée avec la montée en puissance de l’influence de ces marchés sur les acteurs économiques. Les bons du Trésor émis par l’État pour se financer auprès des marchés financiers sont très prisés car ce sont des placements à l’origine peu risquée. Sans eux, il est plus difficile, et plus risqué, de diversifier son portefeuille financier. Par conséquent, si tous les États se désendettaient en même temps, c’est la finance internationale qui en pâtirait.

Assoiffer la bête pour mieux l’achever

« Depuis 1975, la dette n’a cessé d’augmenter alors que le nouveau credo des politiques économiques est devenu celui de moins d’État pour plus de croissance. »

La période des années 1980 a été un moment crucial dans les discours de l’action publique sur l’économie. L’économiste postkeynésien Nicholas Kaldor traite cette période sous l’expression : « la revanche du rentier. » Revanche car les rentiers ont été anesthésiés lors de la période keynésianiste post Seconde Guerre mondiale. La faiblesse des taux d’intérêts, l’existence de taux marginaux prohibitifs sur les plus aisés et la présence de banques publiques avaient raison des financiers et autres propriétaires pendant que l’économie elle, tournait à plein régime et que les déficits accumulés après-guerre se résorbaient à vitesse éclair. Au cours de cette période, la dette publique des pays du G7 est passée de près de 120% en 1950 pour atteindre environ 35% en 1975. Depuis cette date, la dette n’a cessé d’augmenter alors que le nouveau credo des politiques économiques est devenu celui de moins d’État pour plus de croissance. Comment en est-on arrivé là ?

Le passage d’un keynésianisme affirmé à un modèle néo-libéral aurait dû alléger le poids de la dette en réduisant le poids de l’État à ses fonctions régaliennes (justice, défense, police). Mais c’était sous-estimer la fourberie des néo-conservateurs qui avaient besoin de l’assentiment du peuple pour assouvir leur revanche cupide.

C’est à ce moment qu’intervient la tactique du « Starve the Beast. » Une mise en scène macabre où le monstre étatique est mis à sec, vidé de ses poches et donc de son sens. L’État à bout de forces est ainsi obligé d’accepter la thérapie de choc concoctée par une bande de scientifico-politiques conservateurs excités par l’odeur de sueur du labeur du peuple. Les baisses d’impôts sont censées vider les caisses de l’État pendant que les dépenses sont maintenues (militaires dans le cas des États-Unis). La dette explose et une situation de crise des finances publiques apparaît. L’objectif est simple : faire passer la pilule de réformes drastiques et douloureuses visant à faire la part au secteur privé.

« L’État à bout de force est ainsi obligé d’accepter la thérapie de choc concoctée par une bande de scientifico-politique conservateurs excités par l’odeur de la sueur du labeur du peuple. »

Les propositions du candidat mormon républicain Mitt Romney avaient tous les ingrédients d’un mauvais remake d’un film de Reagan. La politique ultra-libérale de l’ancien acteur s’était traduite par de fortes réductions d’impôts pour les plus riches et pour les grandes entreprises, et ces cadeaux fiscaux ont été payés sur le dos de la collectivité en creusant la dette. Lors de la prise de pouvoir de Reagan, la dette était située en-dessous de 30%. À la fin de son mandat, elle avait atteint presque 50%. La Bourse avait très bien compris le hold-up qui était en cours et a su en bénéficier. Sous la présidence de Reagan, le cours du Dow Jones a lui aussi été multiplié par 4, passant de 750 à 2900 points.

Les banquiers comme financiers, les experts économiques comme caution, et la politique comme gérant de la Loi. Une équipe de choc, mais surtout chic, prête à conquérir le monde.

La République des experts

Le scientifique aurait donc une légitimité à gouverner, de par son expertise. Ce fut déjà le vœu impur du père de la sociologie, Auguste Comte, qui se prononçait au XVIIIe siècle en faveur d’une société de sociocrates. Le sociologue épistémologique Bruno Latour remet en cause la notion de scientificité de la science économique en particulier. Pour lui : « La force de l’énoncé original ne réside pas dans son contenu même, mais de sa présence dans les articles ultérieurs. » Ainsi, lorsqu’une théorie émerge et qu’elle rencontre un certain succès académique, le scientifique tente d’utiliser l’argument d’autorité et de légitimité pour asseoir sa théorie et son influence. Les auteurs s’inscrivent dans un réseau scientifique pour convaincre son lecteur et mobilisent pour ce faire tous les outils qui le fortifient et lui donnent de la crédibilité. Ainsi sont mises en avant les institutions de recherche, les bourses de recherche sont orientées, on introduit des récompenses, etc. Le sorcier économiste peut aussi se référer aux textes qui précèdent ses travaux (rôle des citations), et il s’efforce d’être cité par les articles qui suivent. La vérité « scientifique » des économistes ne serait donc qu’une construction subjective dont les rouages ne peuvent être remis en cause tant que la communauté scientifique, dans un mouvement de mimétisme, soutient l’idéologie dominante.

« La vérité « scientifique » des économistes ne serait donc qu’une construction subjective dont les rouages ne peuvent être remis en cause tant que la communauté scientifique, dans un mouvement de mimétisme, soutient l’idéologie dominante. »

Un autre sociologue, Michel Callon, appuie la spécificité de la science économique en arguant qu’elle n’est pas seulement un discours neutre qui se borne à rendre compte de l’état du monde, ou de l’état des relations économiques entre agents humains. Elle vise également à le transformer ou à le modifier. Michel Foucault avait également compris le danger d’une science économique confondant analyse et action. Dans ses cours du Collège de France intitulés Naissance de la biopolitique, il affirme que « la  gouvernementalité néolibérale qui régit les sociétés capitalistes avancées commande alors une analyse serrée des conditions intellectuelles et institutionnelles de la « performativité » de l’ « économie » dans de multiples domaines de la vie sociale (éducation, recherche, santé, justice…). » La logique insensée défendant une « science » économique positiviste (ce qui est) qui aurait des vocations normatives (ce qui doit être) semble encore se poursuivre malgré le fait qu’elle entraîne la perte de souveraineté des peuples et un déni de démocratie.

« La logique insensée défendant une « science » économique positiviste (ce qui est) qui aurait des vocations normatives (ce qui doit être) semble encore se poursuivre malgré le fait qu’elle entraîne la perte de souveraineté des peuples et un déni de démocratie. »

La crise de 1929 avait permis l’émergence d’un nouvel acteur, l’État, censé rétablir l’équilibre des forces économiques en contrôlant ses excès et ses « contradictions » comme le disait Marx. Le système semblait fonctionner avant que les États ne lâchent du lest et remettent en selle la classe des rentiers pourtant à l’origine de toutes les grandes crises économiques mondiales. Leur influence ira même jusqu’à changer un coefficient « multiplicateur » de 1 à 0,5 ou de 1,2 à 0,7 pour faire subir le fardeau des efforts de la crise à ceux qui profitent déjà le moins du peu de morceaux de croissance à se mettre sous la dent. À trop les écouter, les experts auront notre peau car, comme le disait (à quelques mots près) une citation célèbre : « Science économique sans conscience n’est que ruine de l’homme. »

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Simon Bornstein
Simon Bornstein

Simon Bornstein est un étudiant en journalisme et auteur à succès. Né à Montréal, Canada, Simon a grandi dans une famille où l'on se passionnait pour l'écriture et le journalisme. Il a commencé à écrire à l'âge de dix ans et a publié son premier article à l'âge de seize ans dans un journal local. Après avoir obtenu son diplôme de journalisme de l'Université McGill, il a déménagé à Toronto en 2018 pour poursuivre ses études. Il a été accepté à l'école de journalisme Ryerson University, où il a pu étudier le journalisme de profondeur et le journalisme numérique. Lors de ses études, Simon a réalisé plusieurs projets, dont un mémoire sur l'utilisation des réseaux sociaux par les médias.

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