Philippe Garrel, un réalisateur français, a été honoré par le Festival de Cinéma de Berlin en tant que meilleur réalisateur pour son film « Le Grand Chariot ». Cette distinction est un grand honneur pour lui et pour tous ceux qui ont contribué à la production de ce long-métrage. Le jury a été impressionné par le travail de Philippe Garrel et a décidé de lui remettre ce prix pour le remercier de sa contribution à l’industrie du cinéma. Le Grand Chariot est un film qui a été très bien accueilli par le public et qui a été très apprécié par les critiques. Philippe Garrel a donc été récompensé pour son travail et sa contribution à l’industrie du cinéma.
Il y avait dix-neuf films en compétition pour remporter l’Ours d’or, et c’est finalement un documentaire français qui s’est imposé. Sur l’Adamant de Nicolas Philibert, qui relate l’histoire d’une péniche parisienne accueillant des personnes souffrant de troubles psychiques, a été désigné lauréat du plus prestigieux des prix à la 73e Berlinale à Berlin, le samedi 25 février.
Nicolas Philibert, qui avait déjà connu un immense succès avec Etre et avoir il y a plus de vingt ans, a pour cette occasion plongé dans l’univers de la psychiatrie pour ce premier volet d’une trilogie. Il a ainsi pu suivre l’équipe de la péniche et rencontrer les patients et les soignants qui tentent de lutter contre le délabrement et la déshumanisation de la psychiatrie.
Lors de la remise de son prix, le documentariste a déclaré qu’il avait essayé d’inverser l’image que l’on a souvent des personnes atteintes de troubles mentaux. Il a ajouté que le but était d’arriver à reconnaître ce qui nous unit malgré nos différences, et qu’il ne faut pas oublier que ceux que l’on considère souvent comme étant les plus fous ne sont pas ceux que l’on croit.
Un autre Français a également été récompensé lors de cette édition du festival de Berlin. Philippe Garrel a reçu l’Ours d’Argent du meilleur réalisateur pour Le Grand Chariot, un film tourné avec ses propres enfants et qui interroge l’idée de l’héritage artistique et du succès. Lors de la cérémonie, le cinéaste de 74 ans a dédié son prix à Jean-Luc Godard, et a conclu en criant « Vive la révolution iranienne ».