Dans le cadre d’une interview pour France Culture, la maire en charge du septième arrondissement de Paris a exprimé son opinion concernant la responsabilité de la droite. Selon elle, cette dernière aurait un rôle important à jouer afin de redresser la situation actuelle du pays. Cette déclaration laisse entendre que la maire considère que la droite détient les clés pour apporter des solutions concrètes aux problèmes qui affligent la France. Cette prise de position politique vient s’ajouter à un paysage déjà bien agité, où les différentes formations politiques rivalisent d’idées et de propositions pour proposer des alternatives crédibles et viables aux électeurs. Il appartient donc à chacun de se faire une opinion et de décider quelle voie il souhaite emprunter pour garantir un avenir prospère à notre pays.
Rachida Dati, présidente du Conseil national des Républicains, a déclaré sur France Culture le vendredi 17 mars qu’elle souhaiterait un « accord de gouvernement » avec Emmanuel Macron après que l’article 49.3 de la Constitution a été utilisé sur la réforme des retraites. Elle a déclaré: « En responsabilité, il faut se mettre autour de la table pour trouver un accord de gouvernement pour pouvoir redresser notre pays ». Cela a été dit dans le cadre de l’émission Sens politique diffusée le samedi 18 mars sur France Culture.
Rachida Dati a également déclaré que sa famille politique était « la seule à l’Assemblée à pouvoir être responsable ». Elle a également proposé par cet « accord politique » de « restaurer l’autorité, restaurer l’ordre, maîtriser les flux migratoires, redresser l’économie, prendre des mesures en faveur du pouvoir d’achat », car « c’est ça la droite, c’est notre ADN ». Elle a affirmé que la droite avait une responsabilité pour redresser le pays, car la France ne peut pas être « indéfiniment dans le chaos, indéfiniment dans la violence, et indéfiniment dans l’absence de vision ».
Enfin, sur la question des Républicains participant à un nouveau gouvernement avec un nouveau Premier ministre, Rachida Dati a déclaré: « Les modalités, ça se discute ». Elle a également déclaré que la nomination d’Elisabeth Borne était un échec total.