Le vendredi 12 mai, en début de soirée, un avion a atterri au Bourget avec à son bord deux ex-otages, qui ont été libérés de leur détention. Malheureusement, à leur arrivée, il était clair que les deux individus étaient soumis à des dommages psychologiques et physiques à cause de leur captivité prolongée. Leur état de santé était alarmant et ils semblaient extrêmement affaiblis. Cet événement témoigne de manière tragique de la violence qui peut affecter les êtres humains et de la nécessité de mettre en place des mesures pour garantir la sécurité et la protection de tous les individus.
Les deux ex-otages récemment libérés en Iran ont été examinés dans un hôpital iranien immédiatement après leur libération, mais ces examens vont continuer en France, où ils sont tous les deux très affaiblis par leur détention, a rapporté le journaliste Matthieu Boisseau en direct du Bourget, en Seine-Saint-Denis, le vendredi 12 mai.
Benjamin Brière a mené une grève de la faim depuis plus de 100 jours. Selon son avocat, il y avait un risque vital. Sa sœur a indiqué que Benjamin Brière pourrait être conduit directement à l’hôpital à sa sortie de l’aéroport. Bernard Phelan, âgé de 64 ans, est également gravement diminué. Il avait également mené une grève de la faim pendant un certain temps et souffrait de problèmes de santé qui se sont aggravés en prison. Il n’y aura donc pas de cérémonie officielle pour leur retour sur le sol français.