Actuellement, plus du tiers des Français roulent avec une automobile défaillante, généralement par manque de fonds nécessaire pour la réparation. Pourtant, il est possible d’alléger l’impact financier d’un tel dépannage. La réglementation française impose aux mécaniciens de fournir deux estimations de coûts, l’une basée sur l’utilisation de pièces de rechange neuves et l’autre sur celle de pièces d’occasion, bien plus économiques.
Par manque de ressources financières pour régler les réparations nécessaires, plus d’un tiers des Français continuent de rouler avec une voiture qui est en mauvais état. Qu’il s’agisse d’un pare-chocs maintenu en place par des sangles ou d’un rétroviseur bricolé, tous les stratagèmes sont utilisés pour éviter de payer pour des réparations. Cependant, il existe une solution efficace pour diminuer les dépenses liées aux réparations : l’utilisation de pièces remises à neuf ou de seconde main qui sont nettement plus économiques. Cela dit, ces pièces ne sont pas toujours faciles à dénicher, comme le notait le journaliste du 20 Heures.
« Se tourner vers les épavistes »
Les mécaniciens ont l’obligation légale d’établir deux estimations du coût des réparations : une avec des pièces flambant neuves et l’autre avec des pièces remises à neuf ou de seconde main. Cependant, lorsqu’on se tourne vers un professionnel, la seconde option n’est généralement pas mise en avant. « Il faut consulter les services des épavistes« , rétorque une dame. « Nous nous engageons à réparer cette anomalie et à redoubler d’efforts pour garantir l’application strictement conforme à la loi« , assure la société Citröen. Les journalistes de l’émission 20 Heures ont finalement pu dénicher des pièces d’occasion chez un garagiste indépendant.