Une victime devenue activiste des droits de l’enfant insiste sur l’importance de répondre à un fait social tel que la Ciivise. Selon elle, cela a créé beaucoup d’espoir, mais il est maintenant nécessaire d’accompagner ces mesures pour assurer leur efficacité. Elle accuse la société de continuer à ne pas protéger les enfants, ce qui souligne l’urgence d’agir pour faire respecter leurs droits.
Arnaud Gallais nous appelle à protéger les victimes et les enfants. Les mesures visant à lutter contre l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants sont un progrès fondamental pour affronter la souffrance des victimes et faire face à ce fléau.
Arnaud Gallais a souligné l’importance des 82 mesures proposées par la Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Civiise), dont la mesure préconisant l’imprescriptibilité des violences sexuelles sur mineur. Selon lui, cette mesure permettrait de réduire l’impunité des agresseurs et de garantir une justice pour les victimes.
Il souligne la nécessité de donner suite à ces recommandations pour que les victimes se sentent entendues et soutenues. Arnaud Gallais, lui-même victime d’inceste, insiste sur le fait que les agresseurs ne doivent plus jouir de l’impunité actuelle.
Cependant, malgré ces mesures, il reste encore beaucoup à faire pour assurer une protection adéquate des enfants. D’ailleurs, Arnaud Gallais estime que la plupart des enfants victimes ne bénéficient pas d’un soutien social suffisant. Il insiste sur le besoin de soutenir les enfants victimes et de les protéger efficacement.
Les recommandations de la Civiise visent à combattre ce fléau et à protéger les enfants victimes. Arnaud Gallais appelle à agir pour protéger les enfants et à mettre en œuvre ces mesures pour répondre au problème de la souffrance et de la protection des enfants. Il souligne l’importance de passer à l’action pour protéger les victimes et aller chercher les enfants afin de mettre fin à cette situation insupportable.
Enfin, Arnaud Gallais rappelle que les victimes et les témoins de violences sexuelles faites à un enfant peuvent s’adresser au numéro national d’accueil téléphonique pour l’enfance en danger : le 119, qui est ouvert 24h/24 et 7j/7. Il souligne aussi l’importance d’utiliser ce service pour protéger les enfants et apporter un soutien aux victimes.