Le projet de loi sur l’immigration a évité une première motion de rejet préalable à l’Assemblée nationale. En effet, cette dernière a rassemblé 270 votes en sa faveur alors que la barre des 265 voix a été franchie dans le camp adverse. Des élus de différents partis politiques, y compris ceux provenant de la gauche, des Républicains et du Rassemblement National, ont participé au vote.
Non-présence de cinq parlementaires Renaissance lors du scrutin concernant le déni du projet de loi immigration
Durant le scrutin de la mise à l’écart de la loi sur l’immigration, établi le lundi 11 décembre à l’Assemblée Nationale, cinq députés du mouvement Renaissance manquaient à l’appel. Il s’agissait de Jean-François Ardouin, représentant la Charente-Maritime, Anne Genetet, élue de Neuilly-sur-Seine, dans les Hauts-de-Seine, Monique Iborra de la Haute-Garonne, Amélia Lakrafi des députés de l’étranger, et Michel Lauzzana, du Lot-et-Garonne.
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Une déconvenue a été enregistrée par le gouvernement lundi, avec le refus inattendu à l’Assemblée nationale du projet de loi concernant l’immigration. Le bloc écologiste était le porteur de la motion. Son acceptation a causé l’interruption de l’examen du texte sans même que les articles importants soient discutés.
Il y a eu 270 voix pour la motion de refus portée par les écologistes, contre 265. Les consortiums Les Républicains et du Rassemblement national, qui avaient préservé le mystère de leur vote ces derniers jours, ont exposé dans l’hémicycle leur volonté de consentir à la motion.