Anouchka Delon a réagi aux accusations de son frère Anthony, qui l’a mise en cause d’avoir compromis la sécurité de leur père. En outre, elle a affirmé avoir déposé une plainte contre son frère pour des allégations diffamatoires.
Les conflits familiaux parmi les descendants d’Alain Delon persistent. Peu après l’apparition médiatique d’Anthony Delon dans le magazine Paris Match, Anouchka Delon, sa sœur, a présenté sa réplique sur les ondes de TF1, le dimanche 7 janvier. « Je suis désolée que nos affaires familiales soient exposées de cette manière », a répliqué Anouchka Delon, au moment où la santé mentale de leur père Alain Delon est le sujet central de la dispute qui divise leur famille.
« Alain Delon n’est pas en forme. Il est malheureux. Il est bouleversé de voir que sa vie privée est ainsi dévoilée au grand jour. Ça me déchire de le voir dans cet état », a déploré la jeune femme, que son frère Anthony accuse d’avoir mis leur père en péril. Ce dernier a déposé une main courante, arguant qu’Anouchka a occulté à lui et à son frère Alain-Fabien, des examens cognitifs effectués entre 2019 et 2022 sur leur père Alain Delon.
Anouchka Delon a nié avoir dissimulé des renseignements médicaux à ses frères.Elle a également insisté sur le fait qu’elle avait projeté d’amener son père en Suisse pour y recevoir des traitements médicaux, rejetant l’accusation selon laquelle elle aurait des motifs fiscaux, comme l’allègue son frère Anthony.
« Je ne suis pas la progéniture d’un compte en banque »
Anouchka Delon a aussi abordé la question de l’héritage, alors que son frère Anthony lui reproche de bénéficier d’une part plus généreuse laissée par leur père. « On dirait que l’on parle de notre père comme s’il n’était plus de ce monde (…) Son patrimoine ne regarde que lui et les personnes avec qui il travaille. Je suis sa fille avant tout, je ne suis pas l’héritière d’un compte en banque », a-t-elle avancé.
Anouchka Delon a aussi révélé avoir accusé son frère Anthony de diffamation en déposant une plainte. « Lorsque j’ai été informée de la publication de cet article [dans Paris Match], l’idée de mettre fin à mes jours m’a traversé l’esprit. Je n’aurais jamais imaginé être confrontée à une telle situation dans ma vie. Il me contraint à cette démarche juridique. »