Emmanuel Macron a souligné la nécessité de maintenir la protection des individus souffrant de maladies chroniques, avec une limite maximale fixée à « 50 euros par an ».
Pourquoi je ne suis pas outré
Lors de sa récente conférence de presse à l’Elysée, le mardi 16 janvier, le président Emmanuel Macron a exprimé son soutien pour une éventuelle augmentation des franchises médicales, arguant que ce doublement ne le dérangeait pas. Les médicaments, selon lui, pourraient passer de 0,50 à un euro par boîte. Macron a insisté sur le fait que cette mesure n’était pas totalement exorbitante. Pour lui, une telle augmentation revient à responsabiliser les personnes sur leur consommation médicale.
Il faut introduire un élément d’équité
Le président Macron a également souligné l’importance de maintenir un équilibre en considérant le fardeau de cette mesure sur les personnes atteintes de maladies chroniques. Il a suggéré l’idée que ces personnes pourraient bénéficier d’un plafond de « 50 euros par an ». Macron a rappelé que l’Etat prend déjà en charge une part importante, voire quasiment totale, du coût des soins médicaux. Ainsi, il a martelé que les médicaments et les traitements n’étaient pas gratuits.
Réaction du public à la friction médicale
Emmanuel Macron avait organisé une conférence de presse offrant une plateforme de discussion autour de cette augmentation potentielle de la franchise médicale et des participations forfaitaires. Cette possibilité, envisagée par le gouvernement mais pas encore officiellement annoncée, a été confrontée à des réactions défavorables lors des débats sur le budget de la Sécurité sociale pour 2024.