Toujours sous le coup de différentes controverses, elle ne s’occupe dorénavant que de la gestion des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques.
Elle témoigne avoir été « au charbon malgré l’orage ». Amélie Oudéa-Castéra a fait un discours captivant, vendredi 9 février, lors de la cérémonie de transition avec la nouvelle ministre de l’Education nationale, Nicole Belloubet. Dans la constitution finale du gouvernement Attal, dévoilée la veille au soir, Amélie Oudéa-Castéra est maintenue uniquement à la tête du ministère des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques, un titre qu’elle détenait déjà sous le gouvernement d’Elisabeth Borne, et que Gabriel Attal lui a délégué en tant que « super-ministère ».
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Affectée par plusieurs controverses, dont ses remarques sur l’école publique et la scolarisation de ses propres enfants dans l’établissement privé parisien Stanislas, Amélie Oudéa-Castéra a affirmé quitter le ministère de l’Education « plus expérimentée que jamais », et en gardant « la tête sur les épaules », après être restée au pouvoir 28 jours.
« Je tiens à remercier le président de la République et le Premier ministre pour leur confiance inconditionnelle pour me permettre (…) de continuer ma tâche au service du sport et des Jeux olympiques et paralympiques », a conclu Amélie Oudéa-Castéra.