Le 21 mai 1991, Marie-Hélène Audoye disparaissait sans laisser de trace sur la magnifique Côte-d’Azur. Malgré plus de trois décennies écoulées, le mystère reste entier autour de sa disparition. Cependant, un nouvel espoir surgit alors que le pôle cold case de Nanterre décide de rouvrir l’enquête. En effet, les enquêteurs se penchent désormais sur une nouvelle piste : celle d’un crâne découvert en 2012. Cette découverte récente pourrait-elle enfin apporter des réponses à cette affaire qui a longtemps intrigué les autorités et le public ? Seul le temps nous le dira, mais une chose est certaine : l’espoir de résoudre ce mystère persiste et donne un nouvel élan à l’enquête.
Une disparition mystérieuse
En 1991, Marie-Hélène Audoye disparaissait sans laisser de trace. Sa famille a tout tenté pour la retrouver, mais en vain. Malgré les efforts déployés, l’instruction de cette affaire s’est soldée par un non-lieu en 2013. Cependant, le pôle cold case de Nanterre a récemment rouvert l’enquête et fait une découverte surprenante.
Une découverte macabre
En 2012, un crâne féminin a été retrouvé sur les hauteurs de Vence, dans l’arrière-pays niçois. Ce scellé est actuellement en possession d’une gendarmerie de la région. Annie Audoye, la mère de Marie-Hélène, confie que la perspective que ces restes appartiennent à sa fille est à la fois terrifiante et intrigante. Malheureusement, il est difficile de vérifier cette hypothèse, car l’ADN de Marie-Hélène n’a pas été conservé. Cependant, une dent de lait gardée par sa mère pourrait permettre d’établir un lien entre les ossements retrouvés et la disparue.