Le mercredi 13 mars au soir, un tragique accident a eu lieu à Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis. Un jeune homme de 18 ans a perdu la vie après avoir été percuté par un véhicule de police alors qu’il circulait en scooter. Cette tragédie s’est produite suite à un refus d’obtempérer de la part du jeune homme. L’impact de cette collision a été fatal pour le conducteur du deux-roues, laissant sa famille et ses proches dans une profonde douleur. Cette triste nouvelle a bouleversé la communauté locale et suscité une vague d’émotion. Les circonstances exactes de l’accident restent encore à déterminer, mais une enquête a été ouverte pour faire toute la lumière sur ce drame et établir les responsabilités de chacun.
Les conséquences d’un accident dramatique à Aubervilliers
Les séquelles de l’accident restent encore visibles, avec des traces de sang et un camion endommagé contre lequel le scooter s’est écrasé. Le mercredi 13 mars en soirée, vers 21h, le scooter était complètement détruit à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis). Trente minutes auparavant, le conducteur du deux-roues et son passager, tous deux portant un casque, ont refusé d’obtempérer aux policiers qui les ont immédiatement pris en chasse. Un autre véhicule de la Brigade Anti-Criminalité (BAC), alerté par radio, a activé ses gyrophares pour les arrêter. Selon Grégory Goupil, secrétaire adjoint d’Alliance Police 93, le scooter s’est retrouvé nez à nez avec un véhicule de police avant d’être heurté.
Une enquête confiée à l’Inspection Générale de la Police Nationale (IGPN)
Le conducteur, en arrêt cardiaque, a malheureusement succombé quelques heures plus tard. Le passager, blessé, a été initialement placé en garde à vue avant d’être hospitalisé. Sa version des faits diffère de celle des agents de police, tandis qu’un témoin présent lors de la collision affirme que le véhicule de police leur a coupé la route. Le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis) a ouvert deux enquêtes. La première concerne le refus d’obtempérer aggravé par les deux jeunes individus âgés de 18 et 19 ans. La seconde enquête a été confiée à l’IGPN.