En décembre, une enquête a été lancée pour enquêter sur des accusations de « prise illégale d’intérêts », de « favoritisme », de « détournement de fonds publics » et de « harcèlement moral ». Ces infractions, si elles sont avérées, pourraient avoir de graves conséquences et entraîner des poursuites judiciaires pour les personnes impliquées. Les autorités compétentes sont chargées de mener une enquête approfondie pour faire la lumière sur ces allégations et établir la vérité. Il est essentiel de garantir la transparence et l’intégrité dans la gestion des affaires publiques, afin de préserver la confiance des citoyens dans les institutions et de garantir le respect de la loi. Les procédures judiciaires en cours devront permettre d’établir la vérité et de sanctionner les éventuelles infractions commises.
Perquisitions à la mairie du Havre et au siège de la communauté urbaine
Des perquisitions ont lieu à la mairie du Havre (Seine-Maritime) et au siège de la communauté urbaine, dans le cadre d’une enquête préliminaire du Parquet national financier ouverte en décembre 2023. Cette enquête fait suite à une plainte déposée en juillet visant notamment le maire de la ville, Edouard Philippe.
Selon les informations obtenues par 42mag.fr, ces procédures sont liées à une enquête préliminaire ouverte en décembre 2023 pour des faits présumés de « prise illégale d’intérêts », « favoritisme », « détournement de fonds publics » et « harcèlement moral ». La Ville et la Communauté urbaine ont confirmé les perquisitions et assurent être à la disposition du parquet.
La plainte, déposée en juillet par l’ancienne directrice générale adjointe de la communauté urbaine, pointe du doigt un contournement des règles de passation des marchés publics pour l’exploitation de la Cité numérique du Havre. En plus du maire de la ville, l’adjointe au maire chargée de l’innovation et du numérique, Stéphanie de Bazelaire, et la directrice générale des services de la communauté urbaine, Claire-Sophie Tasias, sont également nommément visées.