La septième médaillée olympique, Kirsty, Coventry, a promis d’utiliser les souvenirs de ses épreuves et tribulations en tant qu’aspirante athlète au Zimbabwe pour améliorer le lot des jeunes prometteurs si elle devait être élue présidente du comité olympique international. (IOC).
Les parents de Coventry ont grimpé et économisé pour collecter des fonds, notamment la vente de gâteaux et de hamburgers dans la communauté locale le week-end, pour aider sa formation.
La bourse de solidarité olympique est intervenue pour soutenir l’étoile naissante. « Cette bourse a été extrêmement déterminante pour simplement supprimer un peu de pression sur ma famille », se souvient Coventry
« Cela m’a donné un peu de revenus où je pouvais voyager aux réunions et concourir pendant l’été lorsque nous n’étions pas en classe ou à l’école et cela m’a permis de payer pour mon entraîneur de voyager avec moi quand nous sommes allés aux championnats du monde. Et c’est un énorme avantage. »
Le boost a donné des gloires à gogo. Elle a remporté deux médailles d’or, quatre argentes et une nage en bronze pour son pays entre 2000 et 2016 pour devenir l’Africain le plus décoré des 129 ans d’histoire des Jeux olympiques.
« La partie la plus difficile de mon voyage a été de devenir championne olympique », a-t-elle déclaré à 42mag.fr à la veille du vote pour choisir l’administrateur sportif le plus puissant de la planète.
« C’est là que je crois que nous devrions nous concentrer un peu plus avec des programmes dédiés pour aider à soutenir directement les athlètes dans leur voyage pour devenir olympien. Je voudrais donc le faire. »
Sebastian Coe, un rival pour le premier emploi, a créé la controverse juste avant les Jeux de 2024 à Paris lorsqu’il a annoncé que les médaillés d’or de l’athlétisme recevraient 47 000 euros de son organisation World Athletics.
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C’était la première fois qu’une fédération sportive décidait de payer des prix à des Jeux olympiques.
Coventry dit qu’elle est contre de telles incitations. « Je ne suis pas croyant au prix », a-t-elle ajouté. «Encore une fois, en regardant mon propre voyage et en parlant également aux athlètes autour de moi, la partie la plus difficile du voyage est toujours avant de devenir champion olympique ou avant d’être bien connu.
« Une fois que vous êtes bien connu ou une fois et que vous avez remporté des médailles, beaucoup plus d’opportunités s’ouvrent pour vous. Donc, le fait est de savoir comment aider à développer plus d’athlètes pour essayer de devenir champions olympiques? Ou finalistes olympiques? Je crois que c’est ainsi que nous pourrons atteindre plus d’athlètes. »
Voix des athlètes
Une expérience plus personnelle de ses huit années en tant que présidente de la Commission des athlètes du CIO, dit-elle, informera sa présidence.
«Je veux également m’assurer que les voix des athlètes sont toujours entendues parce que c’est ainsi que nous pouvons savoir ce qu’ils attendent de nous.
« Donc, grâce à la Commission des athlètes, nous pouvons nous assurer que le CIO entend exactement ce que les athlètes veulent de nous, ce dont ils ont besoin de nous et comment nous pouvons travailler pour les protéger et les soutenir. »
Coventry était toujours à l’adolescence et une lycéenne lorsqu’elle a nagé lors de ses premiers Jeux olympiques à Sydney en 2000.
Quatre ans plus tard aux Jeux d’Athènes, elle a remporté l’or au 200m dos, Silver au 100m dos et bronze dans le 200m individuel.
À Pékin en 2008, elle a conservé son titre de dos et a revendiqué Silver au 100m dos ainsi que des argentes dans le mélange individuel 200 et 400m.
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Concourir pour le meilleur emploi
Bien qu’elle ait participé aux Jeux de 2012 à Londres et à Rio en 2016, elle n’a jamais repris ses sommets précédents et s’est retirée à la suite de ses efforts à Rio.
Neuf ans après s’être éloigné de la chaleur blanche de la compétition dans la piscine, Coventry vise à faire des éclaboussures dans le complexe côtier grec de Costa Navarino en tant que première femme et le premier Africain à diriger le CIO depuis qu’il a été créé en 1894 par Pierre de Coubertin et Demetrios Vikelas.
« Je veux être la meilleure personne, pas seulement à cause du genre ou à cause de l’où je viens », a déclaré Coventry. « Je veux que les membres du CIO sentent qu’ils peuvent avoir confiance et avoir confiance en moi, que je serai la meilleure personne pour diriger notre incroyable organisation, à l’avenir qui change si rapidement. »
Coventry, le plus jeune candidat du domaine, se disputera le meilleur emploi avec des franchissers David Lappartient, qui dirige le comité olympique national de son pays ainsi que la Fédération internationale du cyclisme, Juan Antonio Samaranch, le fils du septième président Juan Antonio Samaranch, et Morinari Watanabe, chef de la Fédération internationale du gymnastique.
Si les 109 membres du CIO devaient la choisir jeudi, elle dirigera l’organisation à la retraite de Thomas Bach le 23 juin jusqu’en 2033.
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La grande question
Le terme embrassera les Jeux d’été à Los Angeles en 2028 et Brisbane en 2032 ainsi que les Jeux d’hiver à Milan et Cortina D’Ampezzo en 2026 et dans les Alpes françaises en 2030 qui ont été critiquées de militants environnementaux en France.
Après une cérémonie d’ouverture le long de la promenade des Anglais à Nice, The Ice Sports, à l’exception du patinage de vitesse, sera mis en scène dans la ville.
À environ 600 km au nord, LA Clusaz et le Grand-des-pays dans la section Haute-Savoie fourniront les sites pour le ski de fond et le biathlon.
La Plagne, Courcheval et Méribel dans le cluster Savoie accueilleront entre autres les bobsleigh, la luge et le ski alpin. Serre Chevalier et Montgenèvre dans le cluster de Briançon mettra en scène le ski et le snowboard freestyle.
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Les amateurs qui souhaitent découvrir tout ce qui approche de toute la gamme des événements de l’extravagance sont destinés à laisser une grosse empreinte carbone.
« C’est une énorme question », a déclaré Coventry. «Je pense que cela va aussi entrer en jeu avec les jeux d’été avec le changement climatique tel que nous le voyons dans le monde.
«Nous devons être très proactifs à réunir toutes les fédérations des Jeux olympiques d’hiver et d’autres experts pour vraiment voir comment nous allons faire face à cela et ce que nous allons être disposés à changer dans les Jeux olympiques d’hiver.
« Je crois que le plus tôt possible, nous devrons avoir la même conversation autour des Jeux d’été, et je préfère être proactif à ce sujet que de devoir attendre et être dans une situation où nous sommes pris sur le pied arrière et nous n’avons pas de bonnes solutions pour identifier une voie à suivre. »
Adapté d’une interview avec Christophe Diremszian
