L’organisation dédiée à la lutte contre la corruption exhorte Alexis Kohler à « réévaluer sa décision et à collaborer activement avec les organes parlementaires, dans l’esprit de la transparence gouvernementale ». En effet, le secrétaire général de l’Élysée était censé être entendu ce mardi au sujet de possibles irrégularités liées à la gestion des eaux minérales.
Bien sûr, voici une réécriture de l’article :
Lundi 7 avril, l’organisation Transparency International, engagée dans la lutte contre la corruption, a critiqué une « atteinte au bon fonctionnement de nos institutions démocratiques » après qu’Alexis Kohler a refusé de se présenter devant une commission d’enquête du Sénat concernant le scandale lié aux eaux en bouteille. Ancien secrétaire général de l’Élysée, Kohler était censé être interrogé par les sénateurs mardi après-midi suite aux révélations faites par l’équipe d’investigation de Radio France et du journal Le Monde au sujet de possibles irrégularités dans la gestion des eaux minérales.
En s’appuyant sur le principe de « séparation des pouvoirs », Alexis Kohler a justifié son absence. Cependant, Transparency International a riposté en déclarant qu’il n’était pas acceptable d’utiliser ce principe pour faire obstacle à la fonction constitutionnelle de contrôle exercée par le Parlement sur le pouvoir exécutif. Dans son communiqué, l’organisation anticorruption a exhorté Alexis Kohler à « revoir sa position et à coopérer complètement avec les organes parlementaires, pour le respect de la responsabilité de l’exécutif. Il en va de l’intégrité de notre système démocratique et de la sauvegarde de la santé publique ».