Close Menu
42mag.fr42mag.fr
  • À la une
  • Actualités
    • High-tech
    • People
    • Divertissement
    • Insolite
  • Politique
    • Économie
    • Écologie
    • France
    • Monde
    • Médias
    • Sciences et futur
    • Hack
  • Culture
    • Arts et littérature
    • Cinéma
    • Musique
    • Loisirs
    • Pensée
    • Sport
  • Bon à savoir
    • Automobile
    • Bricolage
    • Cuisine
    • Pratique
    • Santé
    • Le saviez-vous ?
    • Études
    • Records
  • Découvertes
    • Geekeries
    • Humour
    • Fun
    • Blagues & histoires drôles
    • Jeux
    • Vidéos
    • Interviews
    • Shopping geek & WTF
RSS Facebook X (Twitter) YouTube
vendredi 1 août - 18 h 06 min
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Contact
RSS Facebook X (Twitter) YouTube
Contribuer
42mag.fr42mag.fr
Newsletter
  • À la une
  • Actualités
    • High-tech
    • People
    • Divertissement
    • Insolite
  • Politique
    • Économie
    • Écologie
    • France
    • Monde
    • Médias
    • Sciences et futur
    • Hack
  • Culture
    • Arts et littérature
    • Cinéma
    • Musique
    • Loisirs
    • Pensée
    • Sport
  • Bon à savoir
    • Automobile
    • Bricolage
    • Cuisine
    • Pratique
    • Santé
    • Le saviez-vous ?
    • Études
    • Records
  • Découvertes
    • Geekeries
    • Humour
    • Fun
    • Blagues & histoires drôles
    • Jeux
    • Vidéos
    • Interviews
    • Shopping geek & WTF
42mag.fr42mag.fr
Accueil » Politique » France » Législative partielle à Paris : Rachida Dati affrontera Michel Barnier, candidat LR, quoi qu’il arrive
France Politique

Législative partielle à Paris : Rachida Dati affrontera Michel Barnier, candidat LR, quoi qu’il arrive

David BensoussanPar David Bensoussan31 juillet 2025
Législative partielle à Paris : pourquoi Rachida Dati se présentera "quoi qu'il arrive" face à Michel Barnier, désigné candidat des LR
Partager
Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email WhatsApp

Cette décision prise par la ministre de la Culture est principalement motivée par son désir d’empêcher l’ancien Premier ministre de s’implanter politiquement à Paris. Elle souhaite ainsi empêcher qu’il ne s’affirme comme un acteur clé dans la capitale, ce qui pourrait lui permettre de peser de manière importante lors des prochaines élections municipales, un enjeu qui constitue son but majeur.

Elle entre finalement dans la course. Rachida Dati a annoncé lundi 28 juillet dans Le Parisien qu’elle sera candidate « quoi qu’il arrive » à la législative partielle dans la 2e circonscription de Paris, après avoir entretenu longtemps le doute quant à ses intentions. Visant clairement les municipales de 2026 à Paris, la ministre de la Culture se positionne pour le moment en dissidente à droite, tandis que Les Républicains ont officiellement investi Michel Barnier lundi en fin de journée.

L’ancien Premier ministre a réussi à convaincre la commission nationale d’investiture (CNI), qui a également rencontré brièvement Rachida Dati à sa demande, afin qu’elle puisse défendre sa candidature. Son objectif : préserver son territoire, dénoncer ce qu’elle considère comme un parachutage, et préparer sa campagne pour les municipales. Franceinfo revient sur les motivations derrière cette candidature qui, si elle se confirme, pourrait chambouler le scrutin de septembre.

Sommaire

Toggle
  • Pour freiner les « ambitions personnelles » de Michel Barnier
  • Parce qu’elle revendique cette circonscription comme « son » territoire
  • Car cette candidature s’inscrit dans une stratégie offensive en vue des municipales de 2026
  • Parce qu’elle bénéficie du soutien de ses alliés et d’une partie du camp présidentiel

Pour freiner les « ambitions personnelles » de Michel Barnier

La principale raison évoquée par Rachida Dati auprès du Parisien lundi après-midi, lorsqu’elle a officialisé sa candidature, est de contrer les ambitions présidentielles de Michel Barnier. « Je me présente parce que les Parisiennes et Parisiens doivent comprendre que ce scrutin ne peut pas se résumer à la promotion des ambitions présidentielles de Michel Barnier », explique-t-elle, dénonçant un « manque de respect » selon elle de la part de l’ex-Premier ministre. « La présidentielle et la municipale ne sont pas comparables. Les ambitions personnelles ne doivent pas compromettre la seule opportunité de victoire que nous ayons depuis vingt ans », a-t-elle lancé devant la CNI.

De son côté, Michel Barnier assure sur X qu’il veut se « consacrer pleinement aux habitants de [leur] circonscription et porter leur voix avec dignité et clarté ». Sans annoncer officiellement une candidature à la présidentielle, il a répété à plusieurs reprises être « déterminé », insistant : « Il faudra être unis et courageux. Je souhaite rester utile aussi longtemps que possible. (…) On ne peut pas se contenter de regarder », déclarait-il jeudi auprès du Figaro à propos de 2027.

Parce qu’elle revendique cette circonscription comme « son » territoire

Bien qu’elle n’ait jamais été députée à l’Assemblée nationale, Rachida Dati considère cette 2e circonscription parisienne comme son bastion privilégié. Cette circonscription englobe une partie du 7e arrondissement dont elle est maire depuis 2008, non-stop. Ce n’est pas la première fois que la conseillère municipale voit un poids lourd de son camp débarquer dans « son » fief lors d’élections législatives. En 2012, François Fillon, puis en 2017 Nathalie Kosciuscko-Morizet, avaient été investis dans cette circonscription par l’UMP puis LR, sans lien particulier avec le quartier. À chaque fois, Rachida Dati avait violemment contesté ces choix.

Dans Le Parisien, elle a qualifié la candidature de l’ancien Premier ministre de « parachutage ». Un proche de la ministre avait même ironisé mi-juillet auprès de 42mag.fr : « Franchement, on ne voit pas l’intérêt pour Michel Barnier de se lancer dans cette galère à Paris. S’il veut vraiment revenir à l’Assemblée nationale, la 5e circonscription des Français de l’étranger est libre ». Ceci illustre à quel point le camp Dati tient à cette circonscription, d’autant plus qu’un allié fidèle de la ministre, Jean Laussucq, avait été investi en 2024 par le camp présidentiel au détriment du député macroniste sortant Gilles Le Gendre. Pourtant, environ un an plus tard, Jean Laussucq a été déclaré inéligible par le Conseil constitutionnel, déclenchant la législative partielle prévue en septembre.

Car cette candidature s’inscrit dans une stratégie offensive en vue des municipales de 2026

L’ancienne garde des Sceaux de Nicolas Sarkozy l’a affirmé à plusieurs reprises : son but ultime est de conquérir la mairie de Paris. Elle a déjà tenté sa chance deux fois, sans succès : en 2014, la droite avait choisi Nathalie Kosciusko-Morizet pour être la tête de liste, et en 2020, Anne Hidalgo avait conservé son poste. Pour 2026, Rachida Dati s’est positionnée relativement tôt et cherche à s’appuyer sur une alliance réunissant le centre et la droite, notamment autour du camp présidentiel. Un enregistrement diffusé début juin dans l’émission « Complément d’enquête » sur France 2 a révélé qu’elle aurait obtenu une « garantie sur la mairie de Paris » en échange de son entrée au gouvernement en janvier 2024. En clair, elle assure le soutien actif du bloc central dans sa détermination à succéder à Anne Hidalgo.

Sa décision d’entrer dans la course législative partielle n’affaiblit pas cet objectif. Certains chez LR estiment au contraire qu’il s’agit d’une tactique destinée à négocier le retrait de sa candidature contre l’investiture officielle des Républicains aux municipales. Un cadre de LR à Paris y voit un simple bluff : « Elle est beaucoup moins forte qu’on ne le croit », expliquait-il à 42mag.fr lundi soir, notamment en raison de ses ennuis judiciaires. En effet, Rachida Dati a été mise en examen en 2021 dans l’affaire Carlos Ghosn pour corruption et trafic d’influence, fait l’objet d’une enquête sur du lobbying présumé pour GDF-Suez et est citée dans deux dossiers relatifs au lobbyiste Tayeb Benabderrahmane.

Dans la capitale, certains pensent que cette candidature est surtout un moyen de gagner du temps alors que les dates de son procès dans l’affaire Carlos Ghosn ne seront fixées que le 29 septembre. « Avec tous ces dossiers judiciaires, elle tente surtout d’obtenir une immunité parlementaire, qu’elle acquerrait en devenant députée », critique David Belliard, candidat écologiste à la mairie de Paris, dans Paris Match. En effet, bien qu’un député puisse toujours être poursuivi et condamné, l’Assemblée nationale précise que durant son mandat, un député « ne peut faire l’objet d’arrestation ou de toute autre mesure privative de liberté (comme un contrôle judiciaire) » sans l’autorisation préalable du bureau de l’Assemblée.

Parce qu’elle bénéficie du soutien de ses alliés et d’une partie du camp présidentiel

Opposée à Michel Barnier, soutenu en particulier par Bruno Retailleau et plusieurs piliers LR à Paris, Rachida Dati ne mène pas ce combat seule. Elle peut compter sur l’appui étroit de ses partisans, notamment dans le groupe d’opposition municipale Changer Paris, mais aussi sur des voix influentes, notamment dans la sphère du camp présidentiel.

Naïma Moutchou, vice-présidente Horizons à l’Assemblée nationale, a exprimé son soutien « personnel » à Dati sur X lundi soir. « Son parcours force le respect, son engagement n’a jamais faibli. Elle connaît chaque enjeu du 7e arrondissement, chaque recoin de cette circonscription qu’elle a contribué à développer. » Karl Olive, député Renaissance des Yvelines, a aussi fait part de son « appui total et sans réserve » à la candidate dans un long message publié sur X. Toutefois, les différentes composantes du bloc central — Renaissance, MoDem et Horizons — n’ont pas encore adopté de position officielle commune concernant cette campagne, qui devrait être suivie de près.

★★★★★

Article précédentProcès assistants parlementaires : le RN rembourse 3,5 millions d’euros au Parlement européen
Article suivant Fermeture des usines Michelin : un délégué évoque une situation extrêmement dure pour les salariés
David Bensoussan
David Bensoussan
  • Site internet

David Bensoussan est un entrepreneur français et le fondateur webzine 42mag.fr. Il est un passionné des nouvelles technologies. David Bensoussan a commencé sa carrière en tant qu'entrepreneur en 2003. Il a fondé et dirigé plusieurs entreprises et startups, y compris 42mag.fr. Il a aussi travaillé dans le secteur des médias et des technologies de l'information. David est un défenseur de l'innovation et de l'entrepreneuriat. Il est un fervent défenseur de la liberté d'expression et de la créativité.

Vous aimerez aussi :
"Il y a un système de financement occulte du RN" : l'association AC !! Anti-Corruption porte plainte contre X pour "détournement de biens publics"
Financement occulte du RN : l’association AC Anti-Corruption porte plainte contre X pour détournement
"Il y a un côté psychodrame" : des électeurs de droite désabusés de voir le duel entre Rachida Dati et Michel Barnier pour la législative partielle à Paris
Électeurs de droite désabusés par le duel Dati-Barnier aux législatives partielles à Paris
Législative partielle à Paris : "Rachida Dati considère que le prix payé par les Républicains n'est pas encore assez élevé", estime William Thay, politologue
Législative partielle Paris : William Thay estime que Rachida Dati juge le prix des Républicains trop bas
Fin de vie : "Le Sénat ne peut pas se comporter comme un conclave papal hors du monde", estime le rapporteur du projet de loi, Olivier Falorni
          Le 27 mai 2025, l’Assemblée nationale a adopté une loi qui crée un droit à l’aide à mourir. Porté par le député Olivier Falorni, ce texte s’apprête désormais à être examiné au Sénat.
Fin de vie : Olivier Falorni critique le Sénat, avant l’examen du droit à l’aide à mourir
"Ces guerres me saoulent" : chez LR, le duel entre Michel Barnier et Rachida Dati pour la législative partielle à Paris fait craindre la défaite à droite
Duel Barnier-Dati chez LR : législative partielle à Paris, crainte de défaite à droite
Procès des assistants parlementaires : le RN a commencé à rembourser les 3,5 millions d'euros de dommages et intérêts dus au Parlement européen
Procès assistants parlementaires : le RN rembourse 3,5 millions d’euros au Parlement européen
Commenter cet article
Laisser un commentaire Cancel Reply

À la une
Comment un flic noir a infiltré le Ku Klux Klan
Comment un flic noir a infiltré le Ku Klux Klan
28 juillet 2025
EEMI : une école du web à Paris au cœur de la controverse
EEMI : une école du web à Paris au cœur de la controverse
28 juillet 2025
Meubles en bois pour commerces : l’expertise Tradis en action
Meubles en bois pour commerces : l’expertise Tradis en action
15 avril 2025

Newsletter
42mag.fr

Derniers articles
Financement occulte du RN : l’association AC Anti-Corruption porte plainte contre X pour détournement
1 août 2025
80 000 places d’examen du permis de conduire ouvertes : un réseau d’auto-écoles déplore « aucun changement »
1 août 2025
Électeurs de droite désabusés par le duel Dati-Barnier aux législatives partielles à Paris
1 août 2025
Oise : village fermé pour empêcher l’usage de Waze et limiter le trafic
1 août 2025
Législative partielle Paris : William Thay estime que Rachida Dati juge le prix des Républicains trop bas
1 août 2025
42mag

42mag.fr est le webzine de l’actualité insolite et high-tech, mais c’est aussi une source de découverte et d’humour. Geeks, curieux, découvrez chaque jour de nouveaux articles insolites, humoristiques et buzz !

Newsletter
42mag.fr

Protégé par Copyscape
RSS Facebook X (Twitter) YouTube
Actualités
  • High-tech
  • People
  • Divertissement
  • Insolite
Bon à savoir
  • Études
  • Le saviez-vous ?
  • Records
Découverte
  • Geekeries
  • Humour
  • Fun
  • Blagues & histoires drôles
© 2025 42mag.fr – Toute reproduction interdite – [email protected]
  • À propos
  • Mentions légales
  • Contact

Taper un ou plusieurs mots puis appuyer sur Entrer pour lancer la recherche. Appuyer sur Echap pour annuler.

Newsletter
42mag.fr