L’acteur a laissé une empreinte indélébile sur le cinéma français grâce à ses répliques devenues cultes. Nous avons rassemblé celles qui, avec le temps, sont entrées dans le vocabulaire quotidien.
Que ce soit à travers ses rôles dans Les Bronzés ou Marche à l’ombre, Michel Blanc a su immortaliser des répliques de film, rendant certains dialogues inoubliables.
1 Quels sont vos noms ?
Dans le film Les Bronzés réalisé par Patrice Leconte et sorti en 1978, Michel Blanc introduit pour la première fois au grand écran le personnage qui deviendra indissociable de son image : Jean-Claude Dusse. Incarnant un séducteur gênant et maladroit, il essaie désespérément de capter l’attention de deux dames sur la plage.
2 Une question de chance…
Dans Les Bronzés font du ski, qui sort un an après le premier volet, Jean-Claude Dusse continue sa quête amoureuse avec toutes les femmes qu’il croise sur son chemin. Malgré ses maladresses sur les pistes enneigées, il enseigne à Gérard Jugnot qu’il ne faut jamais perdre espoir en amour.
3 Je t’attrape…
Dans le film Le Père Noël est une ordure, réalisé par Jean-Marie Poiré et sorti en 1982, Michel Blanc ne fait pas d’apparition à l’écran. Néanmoins, sa contribution reste mémorable en prêtant sa voix au personnage du pervers qui importune Thérèse, jouée par Anémone, par téléphone.
4 Je me suis fait attaquer par des renards…
Dans son film Marche à l’ombre, sorti en 1984, Michel Blanc incarne un personnage hypocondriaque toujours en train de râler. Aux côtés de son ami musicien, joué par Gérard Lanvin, ils finissent par vivre dans un squat pour éviter la rue. Une nuit, après avoir fumé un joint gigantesque, Denis est victime d’hallucinations.