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Bad Religion : l’atome et la révolte

Simon BornsteinPar Simon Bornstein17 février 2023
Bad Religion : l’atome et la révolte
Bad Religion : l’atome et la révolte
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Avertissement : à l’écoute de certains titres du dernier Bad Religion, il se peut que l’auditeur éprouve l’envie de sortir et déchirer la gueule aux autres ploutocrates et oligarques. Il se peut même que celui-ci ait une irrésistible envie de courir vers les arcanes du pouvoir en usant de termes compliqués, empreints de scientificité, pour démonter le discours des puissants, à la fois par la raison et par le lyrisme. Dernier symptôme : chanter avec des chœurs, et très, très, très rapidement, pogoter. Bref, l’auditeur ressentirait le besoin de vivre.

Marx n’a jamais été aussi pertinent que lorsqu’il dédia son Capital à Darwin. L’évolution et la révolution sont indissociables. Bad Religion l’a bien compris, et en livre une synthèse assez incroyable avec True North : le punk a encore évolué en ce 21 janvier 2013. La musique a pondu  le premier album post-crise. Avant d’aborder l’album per se, il est utile de se donner des billes de contexte de l’histoire du groupe, en guise d’exhausteur de goût du LP, en écoute intégrale ici.

Bad Religion ou l’organisme au système immunitaire infaillible

Los Angeles, fin 1979. Un groupe de lycéens marginaux émerge des substrats d’un concert californien des Ramones, au nom incisif, tranchant : Bad Religion, et ce afin de conjurer l’accointance de la religion avec la télévision spectaculaire, sous la forme des télévangélistes. Greg Graffin, Brett Gurewitz, Jay Bentley et Jay Ziskrout sont alors des adolescents qui exècrent le crypto-reaganisme de leurs comparses lycéens, fait d’opulence et de stupide ostentation. Le punk comme refuge, en premier lieu. Leur tout premier air assène la tonalité du groupe : « We’re only gonna die… From our own arrogance », suite à la lecture de l’ouvrage Origins de Leakey. Si les paroles sont encore loin des envolées lyriques et scientifiques des titres ultérieurs du quatuor, puis sextuor, le message est substantiellement le même : le caractère intrinsèquement mortifère du modernisme est une évidence. Par-delà l’idée pantagruélique du progrès suicidaire induite par le libéralisme, l’observation assidue du fait évolutionniste atteste de la destruction de l’Homme moderne par l’Homme moderne.

Que propose alors Bad Religion ? Tout simplement l’émancipation, plus que l’agnosticisme. Le matérialisme, plus que l’athéisme. L’engagement, plus que le cynisme. Leur propos est pourtant maintes fois répété. Le logiciel religieux n’est pas intrinsèquement coercitif ; l’utilisation de celui-ci pour la manipulation du peuple, du précaire, du paumé, l’est, en revanche. L’émancipation est multiforme, elle n’est pas stricto sensu une sortie de la religion, qui peut parfois s’avérer bénéfique à titre individuel – Bad Religion ne l’a jamais nié. Il suffit pour cela de constater la destruction de la religion classique au sein de toutes les sociétés modernes et ce, à des fins consuméristes, pour la remplacer par la béatitude du progressisme.

La lapalissade « Bad Religion, ce n’est que du punk nouveau » est à prohiber si l’on ne veut pas faire preuve d’analphabétisme musical et intellectuel. Au-delà de la longévité du groupe, nous pouvons poursuivre le raisonnement plus avant : Bad Religion est le groupe révolutionnaire, toujours en doute, toujours prêt à évoluer, à s’adapter, à choquer, à débattre, à hurler ses termes, quitte à ce qu’ils soient compliqués. Révolutionnaires dans la scène punk américaine, dans la mesure où ils ont fait évoluer les paroles en approfondissant la patte analytique et politique des Dead Kennedys. Évolution de la musique avec Suffer, album de 1988, qui révolutionna le punk : s’inspirant de la rapidité des Bad Brains et des Germs, ils ne renient pas pour autant l’apport des harmonies et les canons de King Crimson. Les deux espaces de la révolution et de l’évolution ont toujours été bijectifs, du moins chez Bad Religion. Il suffit pour cela d’observer le triptyque gagnant des albums Suffer (1988) — No Control (1989) — Against The Grain (1990). Le spectre des sujets abordés y est immensément large.

D’où vient cette dualité évolution/révolution ? Il serait pertinent de tripatouiller ses origines au sein de la complémentarité issue d’une d’amitié. Entre le scientifique révolté Greg Graffin et le poète métaphorique Brett Gurewitz, il y eut émulations, amours, trahisons, rancœurs. Le duo de compositeurs est néanmoins toujours présent au rendez-vous en 2013. Un contre-exemple ? La période noire de Bad Religion (1996-2001). Due au départ de Brett Gurewitz, Greg se retrouva flanqué d’un contrat avec une major, Atlantic. Aigri de cette triste période, il composa, à la fin du pourtant très médiocre The New America (2000), l’une des chansons les plus belles et les plus significatives du groupe : « Don’t sell me short » – ne pas vendre à découvert ce qui est animé d’une pulsion de vie. Cette perle était censée être la dernière chanson de Bad Religion.

C’était sans compter sur une rencontre ultérieure, quasiment fortuite, entre Greg et Brett, qui allait tout relancer. Foin des amertumes passées, le groupe formé sous le soleil fake californien constitue l’essence même de leur vie ; ils avaient largement dépassé le stade du défouloir pour adolescents politisés. Le groupe méritait une meilleure fin.

En 2002, sort le LP The Process Of Belief. De retour sur Epitaph, Bad Religion signe ainsi un come-back réussi pour les puristes. Et bim ! Une autre évolution du punk rock sort des fourneaux. Toujours plus rapide. Ferme sur son génome keupon révolutionnaire fait d’efficacité. L’épreuve qu’a pu vivre Brett Gurewitz en étant arraché de son groupe est similaire à l’épisode biblique de Job, dont il relate le rapport de ce dernier au monde, dans le mélodique et désormais culte Sorrow. Bad Religion est un corps au système immunitaire décidément solide. Ainsi, la pandémie de la major Atlantic n’aura pas eu raison de la légende, sublime exception biologique. Ils l’avaient pourtant bien prédit dans le rapide Delirium of Disorder. Quand bien même la fatuité de nos actes serait condamnée à l’absurde le plus béant, s’il n’existe qu’une évanescence électromagnétique, alors la pulsion de vie est plus forte que tout :

« I am just an atom in an ectoplasmic sea / Without direction or a reason to exist. / The anechoic nebula rotating in my brain / Is persuading me, contritely, to persist. Je ne suis qu’un atome dans une mer ectoplasmique, sans direction ou raison d’exister. La nébuleuse an-échoïque en rotation dans mon cerveau, me persuade pourtant de persister. »

Genèse de l’album

Un certain « retour aux sources » du punk américain est observable depuis 2011. Parmi les populaires, nous pouvons citer les sorties récentes d’album de  Pennywise, Propagandhi, Bouncing Souls, The Casualties, Anti-Flag. NOFX fit de même en septembre dernier, avec le condensé, politique et très efficace Self-Entitled. Même envie de concision pour le folk-punk des Dropkick Murphys, et leur sortie de Signed & Sealed in blood, le 8 janvier dernier. Ne manquait que la livraison des maîtres Bad Religion à cette débauche de sorties : elle est arrivée en début d’année 2013.

Sauf que rien ne se fait à la légère avec ces types. Nous avions une idée de la tonalité de l’exercice voulu, par les précédentes réalisations de la scène américaine, id est rapide et sans trop d’expérimentations pour cette fois-ci. Quid des thématiques ? Le jour de la sortie de l’album, la pochette de ce dernier était enfin visible pour tous les aficionados. L’artwork transpire l’identité punk : l’index pointé vers cet être hybride mi-torse nu, mi- costumé dénonce nos propres contradictions morales, plus que ce pauvre type. Au dos de la pochette du vinyle, des photographies d’ouvriers. OK : l’album ne va pas faire dans le chichi.

Les trois premières chansons de True North

Autant l’apostropher de suite : True North est certainement le meilleur album du groupe depuis 10 ans. Probablement depuis 15 ans. Avec un peu de mauvaise foi depuis 17 ans. La première chanson, qui donne son nom à l’album, est une claque nerveuse d’une minute et cinquante-cinq secondes. Où on entend que la déclinaison proposée par les cartographes moraux n’est pas forcément en raccord avec notre épanouissement : « That’s  your moral compass, but what good is it to me ? C’est ton guide moral, mais à quoi cela peut me servir ? ». Tout y est : l’efficacité, la rapidité, les chœurs, la basse si distincte des deux autres guitares. La sémantique de cet album sera probablement d’une double nature : spatiale et temporelle. La chanson est une allusion à peine voilée de Greg à son envie de questionner l’autorité depuis son plus jeune âge, couplée de manière ambivalente aux vagabondages de son propre fils. Deuxième piste : Past Is Dead. Un arpège et une réverbération qui se muent en un thème des plus speed. L’Histoire, jonchée de batailles rangées, est maquillée par les puissants qui ne veulent en extraire que leur éphémère gloriole. Notons également l’extatique « Watch out ! », cri en guise de marque de fabrique du chanteur depuis les débuts du groupe.

La troisième chanson, composée par Brett Gurewitz est charnière. Éminemment mélodieuse, scandaleusement rapide, Robin Hood In Reverse, est plus qu’une supplique adressée à la fois aux « Obamaniaques » ou à Mitt Romney, ne se souciant tous deux guère de la masse. Les évocations sont nombreuses, métaphoriques, incandescentes. En premier lieu, le  néologisme précarité+prolétariat dans « swing low sweet precariat », en référence à « swing low sweet chariot », ce chant nègre et populaire, honni par l’élite ; le regard sur le punk depuis ses débuts, en reprenant la fameuse ligne des Sham 69 « If The Kids are United, They Will never Be divided », suivi d’un mélancolique « But that was yesterday, there’s a brand new shame today. Mais c’était hier, il y a une nouvelle honte à la mode aujourd’hui »; puis les neuf en robe illustrant la Cour Suprême. Le leitmotiv du titre  est concentrée dans ce vers : « Let’s say we try to get this right / Said the plutocrats to Jesus Christ. Disons que nous ferons cela bien, dirent les ploutocrates à Jésus Christ ».

« Ainsi va le libéralisme. Une masse difforme de travailleurs, de chômeurs, de manants, de roturiers donne son tribut aux gloutons, qui lui instillent patiemment une dose de télévisuel afin qu’elle se persuade qu’une révolution n’est pas possible. »

Ainsi va le libéralisme. Une masse difforme de travailleurs, de chômeurs, de manants, de roturiers apeurée par sa propre extinction donne son tribut, inlassablement, aux gloutons, qui lui instillent patiemment une dose de télévisuel afin que celle-ci se persuade du fait qu’une révolution n’est pas possible. Cette masse, pourtant, est le sel même de la Terre. Les ploutocrates le savent mieux que nous : la fête est terminée.

L’impolitesse pavlovienne

Désemparé par l’énormité de ces trois premières chansons, l’auditeur lambda serait en droit d’attendre une ou deux chansons plus soft. Peine perdue : le quatrième, puis le cinquième titre, l’espiègle Fuck you, constituent un plaidoyer efficace pour tester cette impolitesse pavlovienne en milieu urbain. Quitte à devoir tataner deux-trois animaux.

À ce niveau, l’album atteint, en environ 11 minutes 30 secondes, une vélocité rarement égalée. De ce point de vue, le pari de faire un album condensé et résolument punk est réussi. Mais comme toujours avec Bad Religion, il ne faut pas s’en arrêter à une déduction simple. Deux pistes, la sixième et la septième (Dharma & the Bomb et Hello Cruel World) ont la caractéristique de scinder l’album en deux par leur mid-tempo, voire slow-tempo. Ah oui, le solo exécuté dans le slow Hello Cruel World par Brian Baker est générateur d’indécrottables complexes pour 90% des guitaristes.

Et puis ça repart, dans ce que l’on peut appeler le ventre mou de l’album, avec Vanity. Sauf qu’ici, le ventre mou a des biscottos façon Pennywise. Qu’on se le dise, celle-ci est la chanson la plus véloce du répertoire. En moins d’une minute, la langue de Graffin claque avec dextérité notre vanité somme toute animale. Pas le temps de se reposer, on en deviendrait presque las si notre idéal musical ne résidait pas dans ces riffs rapides et ces envolées de basse : un nouveau « one, two, three, four !» est asséné, au début de In Their Hearts Is Right. Nous croyions que Bad Religion avait simplement inséré des harmonies en trois parties dans le punk : ingénus que nous étions ! Avec cette chanson, ils sont allés beaucoup plus loin et ont atteint une maîtrise du chœur et du canon que peu, très peu de groupes de rock savent gérer.

Nous pourrions analyser plus finement les chansons The Department Of False Hope, ou encore Nothing To Dismay, émérites à divers égards. Pour le salut de la concision de notre papier, il est préférable de discuter des trois dernières, significatives. Ne sera pas néanmoins omise la citation « Welcome my son, to where the work is never done ».

Les trois dernières chansons

Il peut se ressentir un léger frisson de doute à l’orée des trois dernières pistes, surtout dès lors que l’on pense qu’il s’agira probablement des ultimes mélopées engendrées par le groupe, après 33 ans de bons et (dé)loyaux services. Quelle doit être la conclusion de toutes ces années ? Un combat perdu d’avance ? Une très longue session d’onanisme public ?  Le punk constituait-il une catharsis ? Un tremplin vers un combat plus « politique» ? D’ailleurs, mérite-t-on une définition absolue du punk ? Ne serait-ce pas renier son éthique que d’apposer une série de règles définitives à ce qui justement s’en absout ?

My head is full of Ghosts consiste en une mise en abîme des rêveries de Brett, au-delà de la réflexion induite par le côté contestable des sciences  métacognitives. Lui qui a écrit le chef-d’œuvre Billy voici plus de 20 ans, il y disait : «And Billy was a lunatic, just barking at the moon » – un drogué, le susnommé Billy, ne fait qu’aboyer sur la lune, dans notre indifférence générale. Il affirme désormais, sain de la sage grisaille qui a depuis peuplé son scalp : « Now meta-cognition is just intuition / And dreamers we’ll bark at the moon. Maintenant la méta-cognitivité est seulement l’intuition. Et les rêveurs aboieront à la lune ».

Avant-dernier titre : The Island. Greg s’en charge, cette fois-ci. Ce n’est sûrement pas un hasard si la moitié du thème ressemble à When ?, une chanson écrite dans l’album Suffer. La déperdition jadis décriée n’est plus forcément temporelle, ainsi que le clamait le docteur en paléontologie Graffin. Son scalp à moitié dégarni a quant à lui prouvé que cette déperdition pouvait prendre la forme d’une isolation spatiale. « But over time, even basement wastes away to the unrelenting shore. Mais, au fil du temps, même les bases dépérissent vers l’implacable rive ».

Changing Tide, enfin. Dernier titre de l’album qui pourrait sonner le glas de l’aventure Bad Religion. Se pose ici la question de la finitude, et surtout : à quoi auront servi toutes ces années ? La participation à un processus a priori immuable de pétrification n’est pas vaine. Notre époque, cynique et libérale, est parsemée çà et là de moultes références, de maintes fulgurances : il est donc difficile de ne pas s’emmêler les pinceaux dans une mosaïque intellectuelle le plus souvent incohérente. Comme toujours, il s’agit de s’adapter, pour lutter. Comme toujours, l’évolution pour la révolution. Le changement, ce n’est pas maintenant. Le changement, c’est toujours, qu’on le veuille ou non.

Le punk –entre autres – est une chapelle de la révolte, certes. Mais voici que cette chapelle s’érode, inéluctablement. Voilà le message qu’a peut-être voulu faire passer Bad Religion. Et maintenant ? Quel froid et sombre avenir nous attendrait, nous autres crêteux, skaters, anarchistes, matérialistes, sans eux ? Nous qui bombions si fièrement le torse devant la rigueur intellectuelle et les mots de notre groupe préféré, nous qui nous extasions devant chaque chœur ? Qu’adviendra-t-il de nos visages boursouflés par la révolte? Il s’agira d’évoluer, tout simplement. L’injonction n’est pas donnée, elle est inscrite dans nos gènes, elle est catalysée par le punk qui coule et coulera dans nos veines.

Sèche tes larmes, camarade ! Une fin de Bad Religion n’impliquerait en rien la fin de ce que ce groupe nous a donné. Si tu te sens pris d’angoisse, ne cours pas, tu le fais déjà : tu te mues subrepticement. Ta rage ne disparaîtra pas. Elle réussira, elle s’adaptera. Au moindre coup dur, il te suffira d’écouter pour une énième fois l’un de leurs riffs de guitare, mâtiné de chœurs gospels pour te reprendre. Il te suffira de scander leurs textes rigoureux à tue-tête pour te requinquer. Ne serait-ce que pour cela, ils t’auront simplement rendu la vie tellement, tellement plus exquise, outrageusement plus fine, intrinsèquement plus délicieuse.

Merci Bad Religion. Que vous continuiez à asséner votre son ou non dans les années à venir, vous en avez de toute façon déjà assez fait pour influencer la musique – et peut-être plus encore.

★★★★★

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Simon Bornstein
Simon Bornstein

Simon Bornstein est un étudiant en journalisme et auteur à succès. Né à Montréal, Canada, Simon a grandi dans une famille où l'on se passionnait pour l'écriture et le journalisme. Il a commencé à écrire à l'âge de dix ans et a publié son premier article à l'âge de seize ans dans un journal local. Après avoir obtenu son diplôme de journalisme de l'Université McGill, il a déménagé à Toronto en 2018 pour poursuivre ses études. Il a été accepté à l'école de journalisme Ryerson University, où il a pu étudier le journalisme de profondeur et le journalisme numérique. Lors de ses études, Simon a réalisé plusieurs projets, dont un mémoire sur l'utilisation des réseaux sociaux par les médias.

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