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Accueil » Politique » Monde » Interview de Raoul-Marc Jennar : « voter ne sert à rien »
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Interview de Raoul-Marc Jennar : « voter ne sert à rien »

Simon BornsteinPar Simon Bornstein16 février 2023
Raoul-Marc Jennar
Raoul-Marc Jennar
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Raoul-Marc Jennar est un véritable « animal politique », un touche-à-tout de la politique belge, française, européenne et… cambodgienne ! Essayiste prolifique et docteur en science politique, il a derrière lui un long parcours politique en Belgique avant son installation en France, dans un village des Pyrénées-Orientales. Il est ensuite devenu porte-parole de José Bové mais est dorénavant militant au sein du Parti de gauche. Discussion à bâtons rompus dans un café de la ville rose.

Vous vous êtes fait connaître auprès du grand public pour votre engagement contre la construction européenne actuelle. Votre ouvrage Europe : la trahison des élites est une référence. Quelle est votre Europe « idéale » ?

D’abord, je souhaite une Europe qui respecte les principes de la démocratie. On a arraché il y a deux siècles avec la Révolution française le principe que le pouvoir émane du peuple. Or, plus on avance dans la construction européenne, moins la souveraineté populaire est représentée. De Gaulle avait montré que le référendum était contraignant en démissionnant en 1969. Qu’en est-il pour les élites européennes suite à l’échec du référendum sur le traité établissant une Constitution pour l’Europe en France et aux Pays-Bas ? On vit un moment grave car on a montré que voter ne sert à rien. On tue la démocratie et on nourrit l’extrême-droite.

« On vit un moment grave car on a montré que voter ne sert à rien. On tue la démocratie et on nourrit l’extrême-droite. »

Les institutions doivent donc refléter le principe du pouvoir par le peuple. Les États-nations existent toujours et c’est un élément historique à prendre en compte. Mais je suis en faveur d’une Europe fédérale des régions parce que je crois que lorsqu’on crée une grande entité européenne fédérale, il faut un dosage plus local pour équilibrer, pour éviter que tout le pouvoir s’éloigne des citoyens. Donner du pouvoir aux régions mais aussi aux collectivités territoriales est alors essentiel. Autre point essentiel : quand on dit que l’Union Européenne est, à l’heure actuelle, fédérale, c’est faux. Le fédéralisme, c’est le principe de subsidiarité. Or, il a été totalement détourné par l’UE.

L’État-nation n’est-il pas plus fort que les régions pour se protéger de la mondialisation ?

On voit bien que non. Comment un État peut-il résister aux budgets de certaines multinationales ? Qu’on ne vienne pas me dire que la France et l’Allemagne peuvent, par exemple, résister à leurs propres multinationales et, encore moins, celles étrangères.

Et quid du Venezuela ?

La clé de ce pays, c’est le pétrole. C’est une situation circonstancielle.

De 1977 à 1988, vous avez travaillé avec les démocrates-chrétiens en Belgique. Vous en tirez une leçon : les partis socialistes ont cessé d’être socialistes suite à l’action menée en leur sein par des gens issus de cette culture chrétienne-démocrate. L’exemple d’un Delors est spectaculaire à cet égard. Pouvez-vous nous expliquer ce constat ?

Les démocrates-chrétiens croient à la collaboration de classes et non à la confrontation. Ils cherchent le compromis. Ils ne veulent pas de rapport de force. Or, l’histoire de l’humanité, c’est justement le rapport de force. J’ai l’habitude de mentionner cet exemple : dans un musée, j’ai découvert une poterie égyptienne datant de 3000 ans avant Jésus-Christ. Il y est écrit un appel à faire grève pour de meilleurs salaires dans un village ouvrier travaillant pour le pharaon. La lutte entre les exploités et les exploitants a toujours existé. Nier ça, c’est nier l’évidence. Il y a des exceptions comme les prêtres-ouvriers.

« Au moment du traité de Maastricht, que disait Delors ? Dites oui et on fera l’Europe sociale juste après. J’attends toujours… »

Mais la majorité des gens qui se réfèrent politiquement au christianisme sont des collaborateurs de classe car ils cherchent le compromis. Jacques Delors est l’exemple parfait. On cède toujours au patronat. Au moment du traité de Maastricht, que disait Delors ? Dites oui et on fera l’Europe sociale juste après. J’attends toujours…

Concédons lui au moins le mérite d’avoir reconnu, certes tardivement, que l’Euro était une erreur…

C’est lui qui est une erreur ! Il a fait avancer l’Europe… au profit exclusif du patronat !

Vous dénoncez l’emprise des lobbies sur la prise de décision européenne. Que faire pour lutter contre les lobbies à Bruxelles ?

J’ai travaillé 8 ans au Parlement belge et j’ai ensuite travaillé deux ans comme conseiller parlementaire pour la Gauche Unitaire Européenne au Parlement européen. À Strasbourg, j’étais consterné de voir ce qui est autorisé : des patrons font des allers-retours quotidiens dans la maison du peuple. Au nom du dialogue avec la société civile, les lobbies ont un accès officiel, organisé et structuré au sein de la commission.

« À Strasbourg, j’étais consterné de voir ce qui est autorisé : des patrons font des aller-retours quotidiens dans la maison du peuple. »

Un exemple : le comité 133, ainsi nommé avant le Traité de Lisbonne, dont les travaux se font à huit clos. Ses membres, des fonctionnaires des différents pays-membres de l’UE, reçoivent toutes les entreprises privées du secteur des services pour « dialoguer » .

Autre exemple : le Transatlantic Business Dialogue (TBD) : ils se réunissent tous les 6 mois, une fois aux États-Unis, une fois à Bruxelles, et ils font des recommandations. Pascal Lamy, ce « grand » socialiste, avait nommé deux fonctionnaires chargés de l’informer, lui et la commission, de … l’avancée dans l’application des recommandations du TBD !


On ne se rend pas compte à quel point leur présence est structurée et organisée. Il faut réglementer tout ceci. Tout dialogue doit se faire de façon transparente. Il y a un conseil économique et social au niveau européen. Pourquoi ne pas encourager l’utilisation de cette structure ? J’ai été stagiaire au congrès américain. Figurez-vous que c’est « moins » pire : les lobbies sont tout autour du Capitol Hill mais ne peuvent pas y rentrer. La réponse aux lobbies, c’est le contrôle et la transparence. Une institution qui fait son boulot en France, c’est la Cour des Comptes. Les réformes à mener ne coûtent presque rien mais il faut de la volonté politique.

Israël a signé fin octobre un accord de libre-échange avec l’Union Européenne pour le commerce de médicaments. Vous y êtes opposé. Pourquoi ?

J’y suis opposé car il y a dans le traité cadre entre Israël et l’UE l’article 2 qui mentionne que les parties signataires doivent respecter les droits de l’homme. Nous avons toujours demandé d’activer cet article 2 depuis que l’armée israélienne a commis des crimes contre l’humanité dans les territoires qu’elle occupe et au-delà depuis 1967. Il y a donc beaucoup de raisons pour déplorer ce vote du parlement européen.

On sent que la Révolution française est une référence importante dans votre cheminement politique. Pourtant son interprétation attise encore les débats. Quel est votre analyse sur ce moment-clé de l’histoire européenne ?

Je suis scandalisé qu’on nous présente toujours la bonne révolution, celle de 1789, et la mauvaise, celle de 1793. Or, la plus belle constitution que la France s’est donnée est celle de 1793. Les acteurs de la Révolution française sont tous très jeunes. Quand ils tombent, ils sont épuisés : ils ont tenu à bout de bras cette révolution dans un contexte particulier : on oublie trop souvent les ennemis intérieurs – les royalistes, l’Église notamment – et les 7 puissances étrangères coalisées contre la France républicaine.

Je ne défends pas la Terreur. Mais je comprends les circonstances. On ne blâme pas les règlements de compte à la suite de la libération de la France en 1944 mais on ne fait pas la même chose au sujet de la Révolution française.

Vous êtes opposé aux institutions de la Vème République. Pourquoi ? Quel est votre modèle constitutionnel ?

Il faut au maximum rapprocher le pouvoir des citoyens. Je souhaite des utopies réalisables : des décisions supplémentaires pourraient être prises au niveau des collectivités locales pour une meilleure répartition des attributions. Quand je suis arrivé en France il y a plus de dix ans, j’ai comparé la législation française sur les collectivités territoriales avec ce qu’on appelle en Belgique la loi communale. Cette dernière est infiniment plus démocratique que son pendant français. Elle n’érige pas le maire en baron. Quand je regarde le système institutionnel français, j’ai l’impression qu’on a gardé le même pouvoir de l’Ancien Régime mais en changeant les étiquettes. Si on s’en tient à l’Europe des 15, la démocratie française est loin d’être un modèle.

« Quand je regarde le système institutionnel français, j’ai l’impression qu’on a gardé le même pouvoir de l’Ancien Régime mais en changeant les étiquettes. »

Comme solution, il faut bien sûr plus de proportionnel. L’Allemagne a plus de proportionnelle qu’en France tout en étant politiquement stable. Pourquoi ? Car il y a, tout d’abord, un seuil plancher de 5 % pour rentrer au parlement. Puis, il y a la motion de défiance constructive : lorsqu’un partenaire de la coalition veut s’en aller, il doit présenter une motion de défiance en apportant une majorité de rechange. Ce système a fonctionné une fois : les libéraux associés aux sociaux-démocrates ont quitté la coalition mais ils ont négocié une alliance avec les chrétiens-démocrates. Il y a donc eu un changement de coalition durant la législature tout en respectant le principe de proportionnalité. Grâce à ce système, les Verts ont pu exister politiquement en Allemagne.

Le débat d’idée en France n’est-il pas sclérosé ?

On a perdu la bataille des idées. Le travail formidable de la droite et de la deuxième gauche a été de pervertir certains mots. Je me rappelle d’un temps où l’expression « fonctionnaire » était positive : mettre son activité professionnelle au service de la collectivité. Aujourd’hui, c’est un « planqué ». Même évolution pour le terme de « chômeur » : c’était une « victime » avant ; c’est aujourd’hui un « profiteur ». Utiliser le mot « capitalisme » avant la crise financière était sulfureux. Du fait de son ampleur, on peut maintenant réutiliser ce terme pour désigner cette « chose ». C’est un travail lent, d’éducation populaire.

Pourquoi avoir rejoint le NPA et l’avoir ensuite rapidement quitté ?

Un parti n’est pas une fin en soi : c’est un instrument pour réaliser des objectifs et quand ils sont atteints, on passe à autre chose.

Comment un militant paysan, courageux et respectable, menant des combats tout à fait louables contre les multinationales de l’agro-alimentaire, qui s’était opposé au projet de constitution européenne de 2005, peut-il rejoindre Daniel Cohn-Bendit et la frange des Verts favorable au pacte budgétaire européen ?

J’ai eu un long parcours politique en Belgique. Lors des présidentielles de 2007, je suis devenu porte-parole de José Bové et j’ai été déçu. Je ne comprends pas. Mais j’ai plusieurs hypothèses : c’est un chrétien au fond de lui et il a succombé à la culture du compromis que je vous ai décrite précédemment. On sous-estime également la capacité du système à récupérer les gens.

« Un parti n’est pas une fin en soi : c’est un instrument pour réaliser des objectifs et quand ils sont atteints, on passe à autre chose. »

Après donc l’échec de 2007 aux présidentielles, rien ne se passe. Mais j’apprends que la LCR se dissout pour créer un parti ouvert à toutes les sensibilités de la gauche, formant ainsi le NPA, avec une dynamique européenne. Je me joins au projet.

Mais le NPA n’a pas tiré les leçons des élections européennes. Il fallait l’union avec le Front de Gauche. On aurait pu avoir un tiers d’élus en plus. Si on ne tient pas compte de cela, on persévère dans l’erreur. Je me suis également rendu compte que le noyau central du NPA est celui de la LCR, trotskiste et léniniste. Je suis ni l’un, ni l’autre. Je me sens plus proche de Jaurès que de Lénine ou Trotski. J’ai donc adhéré au Parti de Gauche qui correspond plus à ma culture politique.

Vous êtes un spécialiste du Cambodge. Quels sont les points communs entre ce pays et votre observation de la politique belge, française et européenne ?

Je me suis rendu compte que tous les hommes politiques, qu’ils soient cambodgiens ou français, fonctionnent de la même manière. Quand ils sont au pouvoir, ils ne savent pas le quitter. Le virus de la professionnalisation du mandat existe partout. J’ai contribué à un retour d’une forme de démocratie au Cambodge. On a organisé des élections avec les Nations-Unies. Et je me suis une nouvelle fois rendu compte que les élections ne font pas la démocratie.

« Je me suis rendu compte que tous les hommes politiques, qu’ils soient cambodgiens ou français, fonctionnent de la même manière. Quand ils sont au pouvoir, ils ne savent pas le quitter. »

C’était intéressant d’être auprès des pays du Sud pour se rendre compte que le colonialisme a changé de forme avec le néolibéralisme de l’Organisation Mondiale du Commerce. Il n’y a plus besoin de contrôler directement des territoires étrangers. Les accords de libre-échange s’y substituent. On met en coupe réglée le reste du monde au bénéfice des multinationales. La souveraineté nationale est devenue une utopie, et la souveraineté populaire, encore davantage.

Un exemple : l’Accord de Libre-Echange Nord-Américain (ALENA) qui concerne les États-Unis, le Canada et le Mexique. Dans la constitution du Mexique, il y avait des dispositions protégeant les terres indigènes. Or, elles allaient à l’encontre de la liberté d’établissement stipulée par l’ALENA. Les États-Unis et le Canada ont donc demandé au Mexique de changer sa propre constitution. Que reste-il de la souveraineté nationale voire populaire face à des dispositifs voulus par nos gouvernements sous la pression d’entreprises privées ?

« N’oubliez pas que les industries pharmaceutiques sont celles qui font le plus de bénéfices, bien plus que les groupes pétroliers. Et quand on les remet en cause, elles sont prêtes à tout, y compris à tuer. »

Quand le Cambodge a voulu rentrer à l’OMC, OXFAM m’a envoyé pour évaluer l’état des négociations. Je me suis rendu compte que sous la pression notamment de l’Union Européenne, des États-Unis, du Japon et de l’Australie, qui sont les principaux donateurs du Cambodge pour sa reconstruction, le pays avait fait des concessions qu’il n’était même pas obligé de suivre selon les textes. Les textes de l’OMC protègent sous certaines conditions les pays les moins avancés, dont fait partie le Cambodge. Ainsi, les délais pour procéder à la libéralisation des services et des biens se font dans leur cas plus lentement. Le Cambodge est un petit pays qui a connu la guerre et dépend de donateurs étrangers pour reformer ses élites, construire des ponts, des écoles, etc.. On n’hésite pas alors à exercer des pressions, même en dehors du droit international, pour asseoir les intérêts des multinationales.

Autre exemple : l’UE est en train de négocier un accord de libre-échange avec l’Inde. La restriction suivante est mise en place : l’Inde ne pourra pas vendre de médicaments génériques à d’autres pays, y compris le Cambodge qui est affecté par le SIDA. La trithérapie contre le SIDA en générique, c’est 15 dollars par mois ; en non générique, c’est 350 dollars.

N’oubliez pas que les industries pharmaceutiques sont celles qui font le plus de bénéfices, bien plus que les groupes pétroliers. Et quand on les remet en cause, elles sont prêtes à tout, y compris à tuer. Quand un haut fonctionnaire de l’OMS a rédigé un rapport sur les multinationales du secteur pharmaceutique, il a été poignardé en pleine rue. Je me rappelle d’une campagne dans les années 60 contre les multinationales qui a fait « flop » car la population n’y a pas souscrit. La gauche, surtout, ne l’avait pas relayé. Le danger n’est pas tombé ; il s’est même accru. Tous les États ont fait sauter les barrières du libre-échange pour favoriser ces grands groupes et l’UE est un acteur décisif de cette mondialisation. Contrairement à tout le discours du Parti socialiste en 2005, l’UE ne nous protège pas de la mondialisation : elle nous met à la merci de celle-ci. Et le PS en a été à la pointe. Il faut donc créer une entité européenne pour pouvoir reprendre la maîtrise du pouvoir politique sur la sphère économique.

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Simon Bornstein
Simon Bornstein

Simon Bornstein est un étudiant en journalisme et auteur à succès. Né à Montréal, Canada, Simon a grandi dans une famille où l'on se passionnait pour l'écriture et le journalisme. Il a commencé à écrire à l'âge de dix ans et a publié son premier article à l'âge de seize ans dans un journal local. Après avoir obtenu son diplôme de journalisme de l'Université McGill, il a déménagé à Toronto en 2018 pour poursuivre ses études. Il a été accepté à l'école de journalisme Ryerson University, où il a pu étudier le journalisme de profondeur et le journalisme numérique. Lors de ses études, Simon a réalisé plusieurs projets, dont un mémoire sur l'utilisation des réseaux sociaux par les médias.

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