Aurore Bergé est mise en cause pour avoir affirmé, lors d’une commission d’enquête, qu’elle n’avait aucun lien personnel avec une lobbyiste travaillant pour des crèches privées, ce qui a conduit à des accusations de « faux témoignage » à son encontre.
Bien sûr, voici une réécriture complète de l’article demandé :
Un vote controversé au sein de l’Assemblée nationale
Avec un résultat serré de dix voix contre neuf, le bureau de l’Assemblée nationale, dominé par le Nouveau Front populaire, a décidé d’envoyer au procureur une requête pour l’« engagement de poursuites pour faux témoignage » contre Aurore Bergé. Cette information a été confirmée par des sources parlementaires à 42mag.fr le mercredi 9 octobre.
Accusations contre Aurore Bergé
Aurore Bergé est mise en cause pour avoir prétendu ne pas connaître personnellement une lobbyiste œuvrant pour des crèches privées, lors d’une audition devant une commission d’enquête, ce qui lui vaut d’être suspectée de « faux témoignage ».
Réaction d’Aurore Bergé
Face à cette situation, Aurore Bergé a exprimé son mécontentement sur le réseau social X. Elle a affirmé que « le NFP – majoritaire au bureau de l’Assemblée nationale – a sans surprise décidé une nouvelle fois de se soumettre à LFI et sa demande infondée à mon encontre ». Elle a également ajouté que selon elle, « la gauche n’en finit plus son naufrage politique et démocratique. Next ».
Le NFP – majoritaire au bureau de l’Assemblée nationale – a sans surprise décidé une nouvelle fois de se soumettre à LFI et sa demande infondée à mon encontre.
La gauche n’en finit plus son naufrage politique et démocratique. Next.
— Aurore Bergé (@auroreberge) October 9, 2024
Ce contexte tendu souligne les tensions politiques actuelles et les divisions au sein de l’Assemblée, mettant en lumière les conflits entre les différents partis.