Close Menu
42mag.fr42mag.fr
  • À la une
  • Actualités
    • High-tech
    • People
    • Divertissement
    • Insolite
  • Politique
    • Économie
    • Écologie
    • France
    • Monde
    • Médias
    • Sciences et futur
    • Hack
  • Culture
    • Arts et littérature
    • Cinéma
    • Musique
    • Loisirs
    • Pensée
    • Sport
  • Bon à savoir
    • Automobile
    • Bricolage
    • Cuisine
    • Pratique
    • Santé
    • Le saviez-vous ?
    • Études
    • Records
  • Découvertes
    • Geekeries
    • Humour
    • Fun
    • Blagues & histoires drôles
    • Jeux
    • Vidéos
    • Interviews
    • Shopping geek & WTF
RSS Facebook X (Twitter) YouTube
mercredi 31 décembre - 4 h 32 min
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Contact
RSS Facebook X (Twitter) YouTube
Contribuer
42mag.fr42mag.fr
Newsletter
  • À la une
  • Actualités
    • High-tech
    • People
    • Divertissement
    • Insolite
  • Politique
    • Économie
    • Écologie
    • France
    • Monde
    • Médias
    • Sciences et futur
    • Hack
  • Culture
    • Arts et littérature
    • Cinéma
    • Musique
    • Loisirs
    • Pensée
    • Sport
  • Bon à savoir
    • Automobile
    • Bricolage
    • Cuisine
    • Pratique
    • Santé
    • Le saviez-vous ?
    • Études
    • Records
  • Découvertes
    • Geekeries
    • Humour
    • Fun
    • Blagues & histoires drôles
    • Jeux
    • Vidéos
    • Interviews
    • Shopping geek & WTF
42mag.fr42mag.fr
Accueil » Politique » France » Sarkozy au procès du financement libyen : sa version de la visite de Kadhafi à Paris
France Politique

Sarkozy au procès du financement libyen : sa version de la visite de Kadhafi à Paris

David BensoussanPar David Bensoussan27 janvier 2025
"Franchement, je m'en serais bien passé" : au procès des soupçons de financement libyen, Nicolas Sarkozy donne sa version de la visite de Mouammar Kadhafi à Paris
Partager
Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email WhatsApp

Lundi, on a posé des questions à l’ex-président concernant les possibles concessions diplomatiques liées à l’accord de corruption supposé avec l’ancien dictateur libyen, maintenant décédé.

Sommaire

Toggle
  • Les Investigations Continues sur Nicolas Sarkozy
  • « Je voulais libérer ces femmes innocentes »
  • « Tensions constantes du début à la fin »

Les Investigations Continues sur Nicolas Sarkozy

Malgré les multiples heures d’interrogation – entre « 50 et 60 heures » durant l’instruction et « 13 ou 14 heures » au tribunal -, Nicolas Sarkozy affirme qu’il a encore de nombreux « éléments et détails » à apporter. Lors du dixième jour du procès concernant le financement présumé de sa campagne de 2007 par la Libye, l’ancien président a été interrogé sur les possibles contreparties diplomatiques d’un pacte de corruption qu’il aurait supposément conclu avec Mouammar Kadhafi. L’accusation met en avant la réintégration du dictateur libyen sur la scène internationale, en soulignant la libération des infirmières bulgares et la visite de Kadhafi à Paris après l’élection de Sarkozy.

Appuyé par ses notes, l’ex-Président fournit une chronologie des relations diplomatiques entre la France et la Libye : dès 2002, Jacques Chirac, nouvellement réélu, en fait « un axe principal » de sa politique étrangère ; en 2003, l’ONU, sous impulsion française, « allège les sanctions » sur la Libye ; en 2004, ont lieu « six rencontres entre la France et la Libye ». En 2005, « cinq rencontres similaires » se déroulent, rapporte Nicolas Sarkozy, évitant de parler de sa visite à Tripoli le 6 octobre 2005, déjà couverte lors d’un précédent interrogatoire. Il en tire deux déductions : le retour de la Libye dans la communauté mondiale était antérieur à son influence et concernait « l’ensemble du monde ».

« Je voulais libérer ces femmes innocentes »

Les magistrats s’interrogent sur l’accélération d’un dossier en suspens depuis longtemps après la visite de l’automne 2005 : celui des cinq infirmières bulgares et d’un médecin palestinien condamnés en Libye depuis 1999 pour prétendue transmission du sida. Nicolas Sarkozy déclare qu’après avoir rencontré leurs familles le 26 avril 2007, en pleine campagne présidentielle, il s’était promis de les libérer s’il l’emportait. « J’étais touché par cette rencontre, mon but était de libérer ces femmes totalement innocentes, accusées à tort », justifie-t-il. Quant à l’implication de son ex-épouse Cécilia Attias dans cette libération, Sarkozy invoque la vie privée : le couple était au bord du divorce à cette époque. Le 24 juillet, l’éphémère Première dame accompagne les infirmières dans un avion français vers la Bulgarie.

« Il fallait sortir ces malheureuses de ce calvaire abominable, j’ai pensé que ça pourrait aider, et ça a eu un effet bénéfique. »

Nicolas Sarkozy

au tribunal correctionnel de Paris

L’enquête parlementaire et les investigations sur cette libération ont mis au jour le rôle de l’Union européenne, qui s’efforçait depuis des années d’extraire ces prisonnières. Que répond Nicolas Sarkozy à ceux qui prétendent qu’il a « envoyé Cécilia pour des infirmières déjà libérées » ? « Il faut constater que la Commission européenne n’avait pas abouti. Mon intervention modeste a abouti à la libération. Considérons cela comme un succès partagé », avance l’ancien président, affirmant que « le fruit était mûr ». Une version soutenue à l’époque par José Manuel Durao Barroso, président de la Commission européenne, selon Libération.

« Tensions constantes du début à la fin »

Sarkozy insiste que « sans la libération des infirmières, Kadhafi n’aurait jamais été à Paris » fin 2007. Il souligne que le dictateur libyen avait également campé sa tente récemment à Lisbonne et dans les « jardins royaux » d’Espagne. Sarkozy précise qu’il ne s’agissait « pas d’une visite d’État » et que la France n’a ni « payé » ni « planifié » les excursions en « bateau-mouche », la « visite au Louvre » ou « la chasse à Rambouillet », qui étaient à la charge de « la partie libyenne ». Selon lui, cette visite fut fastidieuse, « complexe à gérer à cause d’un personnage imprévisible ».

« Élu récemment, avec une énorme ferveur et des tâches considérables, me retrouver avec Kadhafi durant deux jours et demi à Paris, franchement, ça n’a pas été de tout repos. »

Nicolas Sarkozy

au tribunal correctionnel de Paris

Malgré cette explication, un procureur du Parquet national financier demande directement : « Cette visite est-elle le résultat d’un accord frauduleux ? Je dois poser la question. » Se disant « offusqué », Sarkozy rétorque qu' »à aucun moment, cette visite ne peut être interprétée comme celle de partenaires retrouvant après un accord avantageux. Du début à la fin, elle fut pleine de tensions. » Toutefois, ce « chemin de croix » valait le coup, soutient-il, parce que « ce qu’on retiendra, c’est que les infirmières bulgares et le médecin palestinien ont été libérés. »

Sarkozy explique n’avoir plus eu de contact avec Kadhafi après cet épisode, le leader libyen ayant été le seul dans le monde arabe à boycotter son sommet « exceptionnel » de l’Union pour la Méditerranée en 2008. Il souligne qu’il n’y a eu « aucun commencement d’une quelconque collusion » avec le dictateur. « L’idée qu’il pouvait m’influencer tombe dès que l’on voit la pression que j’ai mise pour les infirmières et sur les droits de l’homme », affirme-t-il, défendant la « realpolitik » et la nécessité de dialogues avec « les États voyous ».

Sarkozy assure qu’il n’a plus eu de nouvelles de Kadhafi durant la suite de son mandat. « Avant 2011, personne ne parle d’un quelconque financement de ma campagne », affirme-t-il. Selon la défense, le clan Kadhafi se serait vengé de la reconnaissance par Sarkozy du Conseil national de transition libyen et de son rôle dans l’intervention internationale. Le tribunal dispose encore de plusieurs semaines pour examiner cette hypothèse.

★★★★★

Article précédentBudget 2025 : Thomas Ménagé, député RN, espère éviter la censure du gouvernement
Article suivant Fin de vie : 200 personnalités politiques pressent François Bayrou pour une loi unique
David Bensoussan
David Bensoussan
  • Site internet

David Bensoussan est un entrepreneur français et le fondateur webzine 42mag.fr. Il est un passionné des nouvelles technologies. David Bensoussan a commencé sa carrière en tant qu'entrepreneur en 2003. Il a fondé et dirigé plusieurs entreprises et startups, y compris 42mag.fr. Il a aussi travaillé dans le secteur des médias et des technologies de l'information. David est un défenseur de l'innovation et de l'entrepreneuriat. Il est un fervent défenseur de la liberté d'expression et de la créativité.

Vous aimerez aussi :
Budget 2026 : Sébastien Lecornu "persuadé" qu'un compromis "est possible si les calculs politiques sont mis de côté"
Budget 2026 : Lecornu convaincu qu’un compromis est possible si les calculs politiques tombent
Au procès libyen, des parties civiles de l'attentat du DC-10 dénoncent "l'extrême violence" de la campagne médiatique de Nicolas Sarkozy après sa condamnation
Procès libyen: civiles de l’attentat DC-10 dénoncent violence de la campagne médiatique de Sarkozy
La Métropole Aix-Marseille-Provence porte plainte contre le député LFI Sébastien Delogu pour ses propos sur un "système clientélaire"
Métropole Aix-Marseille-Provence porte plainte contre Delogu pour propos sur un système clientélaire
Les convocations de la commission d'enquête sur l'audiovisuel public sont suspendues jusqu'au 6 janvier, annonce son président
Convocations de la commission d’enquête sur l’audiovisuel public suspendues jusqu’au 6 janvier
Montrer l'actualité récente autrement

          "Regards de photographes" (La Découverte) rassemble des clichés de l'Agence France Presse pour donner à voir ce qu'on connaît déjà, mais comme on ne l'a jamais vu.
Regards de photographes: actualité vue autrement grâce aux clichés AFP
:
    Reportage




  



  




  
  "Ici, on est plus souple et plus réactif" : à Abou Dhabi, revue des forces françaises en marge de la visite d’Emmanuel Macron
Forces françaises à Abou Dhabi: plus souples et réactives en marge de la visite d’Emmanuel Macron
Commenter cet article
Laisser un commentaire Cancel Reply

À la une
Consulter en toute confiance un médecin en ligne grâce aux plateformes de téléconsultation médicale
Consulter en toute confiance un médecin en ligne grâce aux plateformes de téléconsultation médicale
12 décembre 2025
Magnet photo : une touche personnelle et créative pour sublimer son quotidien
Magnet photo : une touche personnelle et créative pour sublimer son quotidien
17 octobre 2025
Trois tonnes de cigarettes de contrebande saisies à Clermont-Ferrand : le marché noir en plein essor
Trois tonnes de cigarettes de contrebande saisies à Clermont-Ferrand : le marché noir en plein essor
10 octobre 2025

Newsletter
42mag.fr

Derniers articles
Budget 2026 : Lecornu convaincu qu’un compromis est possible si les calculs politiques tombent
31 décembre 2025
Procès libyen: civiles de l’attentat DC-10 dénoncent violence de la campagne médiatique de Sarkozy
30 décembre 2025
Côte-d’Or Street: programme de numérisation des routes, alternative à Google Street View
30 décembre 2025
Métropole Aix-Marseille-Provence porte plainte contre Delogu pour propos sur un système clientélaire
30 décembre 2025
Convocations de la commission d’enquête sur l’audiovisuel public suspendues jusqu’au 6 janvier
30 décembre 2025
42mag

42mag.fr est le webzine de l’actualité insolite et high-tech, mais c’est aussi une source de découverte et d’humour. Geeks, curieux, découvrez chaque jour de nouveaux articles insolites, humoristiques et buzz !

Newsletter
42mag.fr

Protégé par Copyscape
RSS Facebook X (Twitter) YouTube
Actualités
  • High-tech
  • People
  • Divertissement
  • Insolite
Bon à savoir
  • Études
  • Le saviez-vous ?
  • Records
Découverte
  • Geekeries
  • Humour
  • Fun
  • Blagues & histoires drôles
© 2025 42mag.fr – Toute reproduction interdite – [email protected]
  • À propos
  • Mentions légales
  • Contact

Taper un ou plusieurs mots puis appuyer sur Entrer pour lancer la recherche. Appuyer sur Echap pour annuler.

Newsletter
42mag.fr