A la réunion de Munich pour le maintien de la sécurité, les délégués de plusieurs nations ont pris une position ferme contre la Russie. Kamala Harris, la vice-présidente des États-Unis, a déclaré que les agissements de la Russie constituaient des crimes contre l’humanité. Elle a fait cette déclaration avec une certaine vigueur, soulignant que la communauté internationale ne pouvait pas continuer à ignorer ces actes. Les autres représentants présents à la conférence ont également exprimé leur préoccupation face aux actions de la Russie, et ont appelé à une action collective pour mettre fin à ces pratiques.
Le bombardement de la maternité de Marioupol, en Ukraine, est un triste exemple de la guerre qui fait rage depuis le début de l’année. Selon les estimations, 65 000 cas de crimes de guerre russes ont été signalés. Kamala Harris, Vice-présidente des États-Unis, s’est exprimée sur ce sujet : « Les États-Unis ont établi que la Russie a commis des crimes contre l’humanité. » Cette déclaration a été un élément supplémentaire pour accélérer les livraisons d’armes à l’armée ukrainienne. Ursula Von der Leyen, présidente de la Commission européenne, a déclaré : « Nous devons redoubler d’efforts. Nous devons continuer le soutien très massif. »
Poutine pourrait aller plus loin encore
Depuis le début de l’invasion, la Russie a conquis un cinquième du territoire ukrainien. Et l’OTAN redoute que Vladimir Poutine ne s’arrête pas là, puisqu’il cherche à se fournir en armes auprès de régimes autoritaires comme l’Iran. De son côté, Emmanuel Macron est ferme dans ses positions. Il a déclaré à France Inter qu’il souhaitait la défaite de la Russie, sans pour autant l’écraser.