« Le rôle joué par le Fonds monétaire international, spécifiquement en Jordanie et en Égypte, dans le contexte de la crise est totalement crucial », a précisé le leader de la nation lors du Forum de Paris pour la paix.
L’implication de la communauté internationale est-elle suffisante ?
Selon Emmanuel Macron, les nations du Proche-Orient qui sont considérées comme « fragile » doivent recevoir un soutien financier international pour éviter de tomber dans le dédale du conflit israélo-palestinien. Le président français a déclaré ce point de vue le vendredi 10 novembre lors de sa participation au Forum de Paris sur la paix. « Tout est interdépendant », a-t-il affirmé, alors qu’il dirigeait la première discussion de ce Forum.
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Il a insisté sur le rôle crucial joué par le Fonds Monétaire International (FMI), notamment en Jordanie et en Égypte, dans le contexte de ce conflit. « Les efforts du FMI, spécifiquement en Jordanie et en Egypte, sont sans aucun doute essentiels dans le contexte du conflit », a-t-il noté.
Le jour précédent, le FMI avait déclaré qu’il avait conclu un accord pour fournir une aide financière de 1,2 milliard de dollars à la Jordanie. Ce territoire, qui partage sa frontière avec Israël, craint les répercussions de la guerre qui fait rage depuis un mois entre Israël et le mouvement islamiste palestinien, le Hamas.
La Jordanie est déjà le refuge de plusieurs centaines de milliers de Palestiniens et elle s’inquiète d’un afflux massif supplémentaire de réfugiés sur son sol.
