Jeudi, les forces de l’ordre de Montpellier ont interrogé l’ex-maire de Prades, une commune située dans les Pyrénées-Orientales, qui est également à la tête de la communauté de communes Conflent Canigo. Après avoir passé dix heures retenu en garde à vue, il a finalement été libéré.
L’ancien Premier ministre Jean Castex placé en garde à vue
Jean Castex, qui a auparavant occupé le poste de maire à Prades dans les Pyrénées-Orientales et présidé la communauté de communes appelée Conflent Canigo, a été interrogé par les forces de gendarmerie à Montpellier durant la journée du jeudi 13 février. Selon une source proche de l’affaire citée par France Télévisions, et en accord avec les informations de BFMTV, il a passé dix heures en garde à vue. Il a ensuite été libéré le même soir, et le procureur de Perpignan a indiqué que l’enquête se poursuivrait avec de nouvelles investigations.
Accusations de falsification et détournement
D’après une source impliquée dans l’enquête relayée par 42mag.fr, Jean Castex fait l’objet de soupçons concernant des délits de « faux et usage de faux en écriture », ainsi que de « soustraction et détournement de biens publics ». Ces éléments incriminants remontent à la période pendant laquelle il exerçait les fonctions de président de la communauté de communes Conflent Canigo, l’un des postes qu’il a occupés par le passé.