Le texte ne mentionne pas clairement si le lieu situé à Bétharram était visé de manière spécifique.
Visite des députés en Nouvelle-Aquitaine pour enquêter sur les violences scolaires
Les parlementaires Paul Vannier, affilié à La France insoumise, et Violette Spillebout, membre du parti Ensemble pour la République, sont en mission de contrôle pour trois jours au sein d’établissements scolaires de la région Nouvelle-Aquitaine. Cet événement a été annoncé ce lundi 17 mars. Ces deux députés sont responsables d’une commission d’enquête ayant pour but de se pencher sur la façon dont l’État supervise et prévient les violences dans les écoles.
Une mission d’investigation sur le terrain
Dans un communiqué commun, Violette Spillebout et Paul Vannier ont indiqué qu’ils se rendent en Nouvelle-Aquitaine pour mener leurs investigations, en examinant aussi bien les documents que les lieux en question. Ils ont prévu une rencontre avec la presse pour le mardi suivant à 10h20, aux alentours de Pau, afin de discuter des objectifs et des résultats de leur visite. Cependant, ils n’ont pas confirmé si cet événement concerne spécifiquement l’établissement de Bétharram.
Réponse attendue de François Bayrou
François Bayrou a déclaré ce dimanche qu’il se tiendrait prêt à répondre aux interrogations de la commission parlementaire se concentrant sur les violences dans l’environnement scolaire. Cette commission a été établie à l’Assemblée nationale en réponse à la polémique autour de l’affaire Bétharram. Le Premier ministre a affirmé sur les ondes de France Inter qu’il serait présent pour une audition à condition de recevoir une « convocation officielle ». La commission d’enquête, dirigée par Paul Vannier et Violette Spillebout, a l’intention de recueillir le témoignage du Premier ministre dans le cadre de ses investigations.
Demande de documents au ministère de l’Éducation
Le 13 mars, les deux co-rapporteurs se sont rendus au ministère de l’Éducation. L’objet de leur visite était d’obtenir des documents nécessaires pour examiner la responsabilité de l’État, et plus particulièrement celle de François Bayrou, dans l’affaire de Bétharram, selon une déclaration de Paul Vannier sur son compte X (anciennement connu sous un autre nom).