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Accueil » Politique » France » Budget 2026: le gouvernement s’engage à transmettre les amendements votés au Sénat, Montchalin
France Politique

Budget 2026: le gouvernement s’engage à transmettre les amendements votés au Sénat, Montchalin

David BensoussanPar David Bensoussan8 novembre 2025
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  Budget 2026 : le gouvernement "s'engage" à transmettre au Sénat les amendements votés par les députés, annonce Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics
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Lors du journal de 20 heures diffusé sur France 2, lundi soir, Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, a expliqué que le gouvernement envisageait de transmettre à la Chambre haute du Parlement les amendements adoptés au cours de l’examen de la section consacrée aux recettes, et ce malgré le retard pris dans l’examen de cette même partie du budget 2026.

Le budget destiné à 2026 pourra-t-il être adopté avant la fin de l’année ? La partie consacrée aux recettes, qui devait être discutée et approuvée par l’Assemblée nationale avant ce lundi 3 novembre à minuit, a connu un retard. Allons-nous droit vers une impasse budgétaire ? Pour en débattre, Amélie de Montchalin, la ministre chargée des Comptes publics, est l’invitée du 20 Heures de France 2.

Ce passage reflète une partie de la retranscription de l’entretien ci-dessus. Pour l’intégralité, cliquez sur la vidéo.


Léa Salamé : Ce matin, il restait encore 2 500 amendements à examiner dans le volet recettes du budget. Vous deviez clore les discussions à minuit ce soir. Parviendrez-vous à avancer et à faire adopter ce volet recettes ?

Amélie de Montchalin : Déjà, je veux dire aux Français que nous sommes engagés dans une course d’endurance et que nous disposons jusqu’au 23 novembre pour travailler sur le budget avant de le présenter au Sénat. Ce soir, je peux affirmer que je travaille jour et nuit aux côtés des parlementaires. Je constate des artisans du compromis qui forment une majorité et qui ne font pas preuve de cynisme, et qui ont choisi de croire que nous pouvons, avant de penser à l’élection présidentielle de 2027, œuvrer pour les Français aujourd’hui. Cette majorité s’oppose aujourd’hui à deux blocs, celui du Rassemblement national d’un côté, et les Insoumis de l’autre, qui, eux, tablent sur l’échec et refusent le compromis. Ce que j’annonce ici, c’est que le Premier ministre et l’ensemble du gouvernement s’engagent sur le travail accompli jusqu’ici, qui est assez inédit et qui prend son temps, car nous sommes dans une situation où nous avons renoncé au 49.3, tous les amendements ont été votés. Le gouvernement s’engage, selon les configurations politiques qui le permettront, à les transmettre au Sénat. C’est important, car ce que nous faisons n’est ni une mascarade ni du théâtre.

« Parce que si on dit : “À quoi cela sert-il ? Ils discutent, ils discutent, ils font des compromis, mais au final, cela ne marchera pas.” »

À la fin, je vous le dis clairement : nous avons renoncé au 49.3. Le Premier ministre s’est engagé à déléguer davantage de pouvoir aux parlementaires.

Le point de vue est clair : confirmez-vous que vous renoncez bien au 49.3 ? Pardon pour la précision, mais ce week-end, certaines voix se sont exprimées, notamment dans votre camp, comme Marc Fesneau du MoDem, qui disait qu’il serait peut-être impossible de s’en sortir sans cet outil…

Aujourd’hui, des oppositions existent, et certains partis veulent s’impliquer. Ensemble, sur chaque sujet, on parvient à trouver des compromis. Bien sûr, lorsque vous écoutez ce que j’appelle les arnaqueurs, les illusionnistes, les représentants du RN et de la LFI, qui soutiennent des mesures totalement incohérentes, eux, ce qu’ils veulent, c’est que tout dérape et que le travail s’arrête. Nous, nous travaillons avec des personnes qui sont au gouvernement mais aussi avec des non-inscrits au gouvernement. Je pense notamment au Parti socialiste, aux écologistes et aux communistes. Encore aujourd’hui, vous avez pu observer des votes où ce compromis s’est construit. Mais ce n’est qu’une étape. Cela continuera à son propre rythme. Et nous, au gouvernement, nous voulons proposer un budget aux Français parce que, avant d’évoquer la présidentielle, nous pensons d’abord à eux.

Pensez-vous qu’un budget sera voté avant le 31 décembre ?

Avant la fin de l’année, c’est tout mon objectif : faire en sorte que le gouvernement se mette au service des parlementaires pour démontrer ce que nous avançons.

Plusieurs nouvelles taxes et prélèvements ont été adoptés visant les multinationales et les grandes fortunes. Un nouvel impôt sur la fortune improductive a été adopté vendredi dernier. Quel sera son impact pour l’État ?

Ce point est crucial. Pour répondre aux Français ce soir, notre ligne est de préserver le travail et les emplois. D’un côté, on prévoit une hausse d’environ 3 milliards d’euros des impôts pesant sur les multinationales, sur les 400 plus grandes entreprises du pays. D’un autre côté, on prévoit une réduction de 3 milliards d’euros pour les PME, les petites et moyennes entreprises. Vous voyez, nous avons déjà entrepris un chemin de compromis. Pour les ménages, la réduction s’élève à moins 3 milliards d’euros, et les plus fortunés devront contribuer à hauteur de 5,5 milliards d’euros supplémentaires. Cela concerne environ 150 000 ménages, soit 0,3 % de la population française, qui financeront ces 5,5 milliards.

Au total, ce sont environ 200 000 personnes qui seront pénalisées par ces mesures.

Justement, les chefs d’entreprise vous font souvent répliquer : « Nous étouffons sous ces nouvelles taxes, c’est une folie fiscale qui menace l’économie, vous allez tuer l’activité. » Vous avez aussi des entrepreneurs qui promettent de quitter le pays.

Mon message est que lorsque l’on abaisse l’impôt sur les PME — ce qui n’est pas moi qui l’ai décidé, mais les députés qui ont voté pour une diminution de 3 milliards — et lorsque l’Assemblée se met d’accord sur les heures supplémentaires et les pourboires, ces compromis ne reflètent pas nécessairement l’intégralité du souhait du gouvernement. Mais pas à pas, l’Assemblée et le Sénat tracent une ligne. Notre ligne directrice, celle du Premier ministre, est que le travail doit être rentable, que les chefs d’entreprises aient confiance et puissent continuer à créer des emplois. C’est cela même sur quoi nous voulons nous appuyer.

À côté du budget, il y a le projet de loi de finances et, en parallèle, le projet de loi de la Sécurité sociale qui sera présenté demain à l’hémicycle. Les débats y seront également extrêmement tendus. Dans notre reportage, le CHU de Cannes et celui de Toulouse témoignent que le secteur hospitalier ne va pas bien ; les professionnels de la santé redoutent la pire cure d’austérité depuis 2010 avec votre texte sur la Sécu. Que leur dites-vous ce soir ?

Tout d’abord, je leur confirme ce que le Premier ministre a déclaré : le gouvernement souhaite accompagner une hausse des moyens alloués à l’hôpital de 1 milliard d’euros supplémentaires par rapport au budget initial. Cela représente 1 milliard pour l’hôpital, pour l’autonomie et pour la santé, et c’est en plus de ce que nous avions préconisé.

1 milliard de plus pour l’hôpital et la santé, est-ce exact ?

Oui, et cela se focalise sur l’hôpital et ses environs, notamment les enjeux d’autonomie et de vieillissement liés à l’offre hospitalière. Il s’agit là d’une annonce majeure pour les personnels soignants. On a beaucoup discuté des aspects économiques du budget de la Sécurité sociale, qui demeureront au cœur du débat. Cependant, en parallèle, nous allons porter des choix qui, à la demande du Premier ministre, seront présentés par la ministre Stéphanie Rist, par Jean-Pierre Farandou et par moi-même. Il s’agit du plus grand plan de prévention des maladies chroniques et du plan de soutien à la santé mentale, ainsi que du recrutement de 4 500 personnes dans les Ehpad. C’est aussi un soutien important à France Santé, pour que chaque Français puisse avoir près de chez lui un médecin qui puisse l’accueillir rapidement en cas d’urgence. Enfin, pour ce qui touche à la retraite des femmes et au congé de maternité, nous proposons un dispositif pour aborder notre démographie vieillissante et mieux assister les familles.

Vous annoncez un milliard de plus pour l’hôpital, mais comment financer cela ? La Sécurité sociale présente un déficit de 23 milliards cette année, et la Cour des comptes est éberluée par ce chiffre, jamais aussi élevé depuis 2012, hors période Covid. Comment allez-vous financer ce surcoût ?

Et c’est là tout l’enjeu : nous avons mis sur la table plusieurs propositions qui seront discutées, car ce que les Français attendent, c’est d’être bien soignés et de le rester. Pour y parvenir, il faut des ressources et des politiques de santé adaptées.

Donc vous dites qu’ils devront payer davantage pour leur santé ?

Non. Cela signifie, par exemple, que nous allons engager des efforts réels sur le prix des médicaments en collaboration avec les laboratoires pharmaceutiques. Cela implique aussi de demander une contribution plus soutenue des mutuelles, notamment celles qui présentent des frais de gestion élevés. Et ensuite, sur le sujet des franchises médicales.

Voulez-vous les doubler ?

Ce que le gouvernement porte, et cela fera l’objet de débats, c’est que nous sommes aujourd’hui l’un des pays qui affiche le reste à charge le plus faible au niveau international. Nous voulons demeurer dans cette position, mais il va augmenter. Aujourd’hui, 18 millions de Français ne paient rien. La question, c’est de savoir si l’on souhaite élargir ce soutien à un peu plus de 18 millions, les ménages les plus modestes et les plus fragiles. C’est, à mon sens, un débat sociétal pertinent, car pour assure un bon soin à nos concitoyens, il faut aussi que le système soit financièrement soutenable.

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David Bensoussan
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David Bensoussan est un entrepreneur français et le fondateur webzine 42mag.fr. Il est un passionné des nouvelles technologies. David Bensoussan a commencé sa carrière en tant qu'entrepreneur en 2003. Il a fondé et dirigé plusieurs entreprises et startups, y compris 42mag.fr. Il a aussi travaillé dans le secteur des médias et des technologies de l'information. David est un défenseur de l'innovation et de l'entrepreneuriat. Il est un fervent défenseur de la liberté d'expression et de la créativité.

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