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Accueil » Découvertes » Interviews » Séries TV : interview de Pâcome Thiellement
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Séries TV : interview de Pâcome Thiellement

Simon BornsteinPar Simon Bornstein22 janvier 2023
Séries TV : interview de Pâcome Thiellement
Séries TV : interview de Pâcome Thiellement
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Certains diront « bizarre » en parlant de Pâcome Thiellement. On préfère « original. » Rendez-vous est pris dans un café parisien. Il a caché sa chevelure hirsute sous un chapeau mou très détective d’une série télé des années 1960. La barbe en plus. Notre homme fait résonner sa voix caverneuse et part dans des rires sonores qui font se retourner les gens assis dix mètres derrière lui. En face, JB Gueniffey lui donne la réplique. Scénariste de 25 ans, il rentre tout juste de New York où il s’était exilé pour apprendre le métier chez les pros de la série télé.

On ne sait pas vraiment comment présenter Thiellement. « J’essaye de ne pas avoir de spécialisation », dit-il. Essayiste, réalisateur, chroniqueur pour Chronic’art, il y tient une rubrique de démonologie. Traduction : « j’écris sur les démons. »

Les démons ? Ca vous est venu comment ?

Par expérience.

Vous en avez croisé beaucoup ?

Oui. Un certain nombre.

Comment en êtes vous venu à faire ce que vous faites ?

Oulà, vaste question. J’ai une formation de monteur. Assez vite j’ai eu envie d’écrire. Au début, j’étais intimidé par l’écriture. Des ateliers pour apprendre, à mon époque, il y en avait moins qu’aujourd’hui. Je suis plus vieux que vous les copains. J’ai 37 ans.

Wow !

Oui, je sais, je suis presque mort.

Comment êtes vous arrivé aux séries télé ?

Par Twin Peaks. Cette série, ça a été une révélation. J’avais 16 ans. C’est passé sur la Cinq. Immédiatement j’ai été happé. J’étais obsédé. Complètement obsédé. Je ne pensais qu’à ça.

C’était les années 1990 en plus, entre deux épisodes il n’y avait rien d’autre à faire qu’attendre.

On avait rien. Pas un élément. Il n’y avait pas de spoiler sur la Cinq. Pas Internet non plus. Pas de débrief collectif. C’est la principale différence par rapport à la manière dont j’ai vécu la diffusion de Lost. Entre deux épisodes j’avais les forums, les podcasts, j’avais l’encyclopédie Lostpédia… Il y  avait une prise en charge collective, globale. Twin Peaks, à la fin d’un épisode t’es seul avec ton angoisse de « Putain mais qu’est ce qui va se passer ? » A l’époque j’étais au lycée à Clermont Ferrand, j’ai essayé de convertir tous mes camarades de classe, j’y suis parvenu, mais sur le tard. Pendant longtemps j’ai été tout seul, partagé entre le sentiment que la série avait été créée pour moi et l’envie de jouer avec d’autres gens.

Pendant longtemps j’ai été tout seul, partagé entre le sentiment que la série avait été créée pour moi et l’envie de jouer avec d’autres gens.

Bref, à la fin, on se retrouve seul face à la mort de la série. Tout seul.

Comme une rupture amoureuse ?

Oui, peut-être. Un choc métaphysique en tout cas.

Il y a une déprime post-série ?

Bien sûr. Pas toi ?

Non. J’ai dévoré la première saison de Homeland. J’attends la suite avec excitation.

C’est normal entre deux saisons. Tu verras après la dernière saison.

Lost fait six saisons. Au bout de trois-quatre ans vous n’en avez pas eu marre de ces types perdus sur leur île ?

Non ! J’ai écrit un livre sur Lost ! Et puis, ça dépend des séries, certaines s’essoufflent et d’autres non. X Files , ça devient vraiment moins bon au fil du temps. Il y a sept saisons, passé la 4ème ça commence à déconner et la 5ème on est dans le grand n’importe quoi.

Qu’est ce que vous pensez de Dexter ?

J’aime pas du tout. J’ai tout regardé, les 4 saisons, mais j’aime pas du tout.

A mon sens elle apporte quelque chose de nouveau. Centrer une série télé sur un personnage coupable et réussir à humaniser ce type qui commet des actes monstrueux, c’est une vraie rupture scénaristique.

Mais c’est pas nouveau ! Dans Twin Peaks, dans X Files, même dans Buffy on a Spike, le bad boy qui tue. Non, je vois bien l’enthousiasme qu’a créé Dexter mais je m’emmerde au milieu de chaque saison. Pareil avec le truc de vampires là, True Blood. Je pige trop vite l’intrigue. Un film quand je devine la fin au bout d’une demi heure c’est difficile de tenir mais pour une série c’est infernal. Si dès le troisième épisode je sais comment ça va se finir, c’est un calvaire de tenir jusqu’au bout.

Pourquoi vouloir tenir ?

Je n’arrête jamais une série en cours de route. Malgré tout, j’ai l’intense espoir que le scénariste me surprenne. Je garde en moi l’idée que je peux me gourer. Sur Dexter, zéro surprise, mais je comprends la fascination. Le générique est super, les acteurs sont bons…

Et les séries TV « bande de potes » comme  How to make it in America ?

Les buddy séries ? Non, pas mon truc. Mais j’ai pas regardé tant de séries que ça. Je préfère mater une saison plusieurs fois plutôt que démarrer une série médiocre. Là je suis Fringe. Pour moi, la série prend tout son sens à partir du moment où je la vois plusieurs fois. Là je commence à l’analyser. A étudier son architecture interne, son système de résonance, ses rimes. Avec The Wire ça marche très bien, c’est écrit au peigne fin.

Et les séries françaises ?

Je ne les regarde pas. Elles sont trop mal écrites. Leur problème, c’est la production.

C’est à dire ?

J’ai un ami écrivain de science fiction qui a été approché par Canal Plus pour leur écrire une série. Le discours au départ c’est « on vous adore, carte blanche, éclatez vous ! » Le mec fait un pilote qui lui plait, il l’envoie et on lui dit « whouah t’es un dingue toi hein ! On t’adore ! Mais quand même, là c’est un peu too much, on va en reparler ». Et ils enlèvent grosso modo tout ce qui lui plaisait. Mais il a dit oui, il est parti donc il continue. Puis vient la deuxième mouture, le mec qui l’avait contacté est parti, la personne qui le reçoit n’en a strictement rien à foutre de sa gueule et lui dit « oulà, mais vous savez qu’il y a des problèmes partout dans votre scénario ? ». Mais il a commencé, il veut pas abandonner et dit « ok je vous fais une troisième version ». Et là on lui dit « Bon, ça va pas du tout, on va vous expliquer comment écrire un scénario, il faut un personnage féminin comme ci, un héros comme ça, un twist ici, » et ça finit par un cours où on lui fait comprendre que « putain mec, tu nous fais perdre du temps ! »

A quel moment ça foire ?

C’est des dingues. Ils veulent contrôler de A à Z l’écriture du 1er scénar. Et à la fin ils se retrouvent avec des trucs formatés tout pourris. Aux USA, OK l’écriture est collective, mais il y a quand même un show-runner. Le pilote, la chaîne prend un risque dessus. Beaucoup de pilotes sont tournés avec peu de séries derrière. Ils se disent « on teste, faisons le pilote et on verra ensuite. » Les producteurs français, ils pensent savoir mieux que tout le monde ce qui va plaire.

Et qu’est ce qui va plaire selon eux ?

Quand je discute avec ces mecs, ils me font flipper. Pour eux, les gens c’est l’ennemi. J’étais à Charleroi dans un débat avec un directeur des programmes, il puait le mépris de son public à un point ! C’était dégueulasse.

Pour eux, les gens sont des cons incapables d’apprécier la qualité. Il va falloir leur apprendre la vie et leur faire un truc un peu plus merdeux que pour nous sinon ils comprendront pas, et ça marchera pas.

Ils l’imaginent comment le public ?

Pour eux, les gens sont des cons incapables d’apprécier la qualité. Il va falloir leur apprendre la vie et leur faire un truc un peu plus merdeux que pour nous sinon ils comprendront pas, et ça marchera pas. Les américains ont beaucoup de défauts mais au moins, leurs séries, ils les aiment. Les français ne regardent pas leurs propres séries. Pour qu’il y ait des bonnes séries en France il faudrait déjà que ceux qui les financent les regardent. Pour l’instant il n’y a même pas ça. Aujourd’hui, ces gens là s’accrochent comme des morpions, mais ils vont s’effondrer. Je doute qu’un tel système soit pérenne.

Aux États-Unis on retrouve aussi une structure scénaristique fondée sur la mythologie grecque. Ils suivent une recette ancestrale en deux actes pour les sitcoms, en quatre actes pour les drames. Ils se basent là-dessus et ensuite ils injectent de l’idée. Or en France, c’est sur la structure que l’on veut innover. A mon sens on ne devrait pas y toucher, rester sur un modèle établi et travailler l’idée.

Exactement. Aux US ils ont le squelette et mettent la chair qu’ils veulent. En France, on t’apprend pas à faire un squelette, tu te débrouilles, mais à la fin il faut que les mannequins aient tous la même gueule. La même texture. On a freiné des quatre fers pour reconnaître que les modèles américains reposent sur des recettes ancestrales. Star Wars n’est pas retombé sur des grands mythes par hasard, c’est pas juste fait par des débiles qui délirent. Ça, c’est du fantasme. En France dès qu’ils sentent la structure mythique ils disent « c’est dégueulasse, c’est là pour faire du blé. » Résultat on a quoi ? D’un côté un cinéma de comédies post-Splendid toutes plus infectes les unes que les autres et de l’autre côté un ciné dit d’auteur avec des récits emmerdants à souhait. Tributaire pour le premier d’une mythologie Astérix et pour l’autre d’une mythologie mai 68.

Il n’y a rien à sauver ?

Dans le ciné français ? Rien.

Mais pourtant les américains nous couvrent d’oscars.

Ma mauvaise foi me fait dire que c’est de l’ironie de leur part. « On est contents que vous soyez dans la merde. Continuez. » Si on faisait du bon cinéma, les américains auraient peur de nous.

Qu’est ce qui manque ?

Etre visionnaire. Et faire des images. Elles sont toutes pourries leurs images. Du cinéma français esthétique, il y en a eu. Clouzot, Melville, Tati, c’était des grands formalistes avec des images splendides.

Oui, enfin, ça date !

Je te le dis comme je le pense. J’ai rien vu depuis longtemps qui m’ait convaincu en cinéma français. Côté séries, Pigalle la nuit, j’ai bien aimé.

Elle a été arrêtée dès la première saison. Pourtant leur idée de tourner dans Pigalle en conditions réelles était géniale. Cela rendait crédibles les regards caméras des passants sur le personnage de Simon Abkarian, parrain du quartier dans la série.

Ouais je suis d’accord. Mais ça reste trop rare. On m’avait parlé de Mafiosa. J’ai regardé. C’est horrible. Ils jouent comme des personnages de Scorsese avec l’accent corse. Il y a un gros problème d’écriture des dialogues. C’est du faux argot, on plonge dans le cliché à chaque fois.

On ne donne pas les moyens à un scénariste de travailler sur le terrain. Simon a enquêté grâce à son métier de journaliste. C’est son poste au journal de Baltimore qui lui a permis de côtoyer ces flics et, in fine, d’écrire The Wire. En France on manque de considération pour ce métier.

Là bas on sait que c’est le mec important. Ici on continue de penser que c’est le réalisateur.

La refonte du système, elle passe par quoi ?

Sa destruction. Si on voulait faire du bien on détruirait le ministère de la culture, on exploserait le CNC, le CNL. Le système d’aide pourrait être magnifique. Il a un sens. Moi j’en ai jamais bénéficié, c’est surement pour ça que je suis si en colère ! Mais ça me gênerait d’appartenir à un club qui m’accepterait pour membre, comme dirait Groucho Marx.

Vous venez de publier un roman. Vous n’avez pas été tenté de l’envoyer chez les piliers de l’édition ?

Si j’en avais eu l’idée, ça aurait été une mauvaise idée. On ne peut pas en vouloir aux gens d’avoir cette idée, comme on ne peut pas leur en vouloir de demander l’aide du CNC. C’est logique. Mais je crois qu’il faut donner l’exemple. Dire « je m’en tape de tout ça. » Aujourd’hui la littérature qu’on promeut c’est de la petite histoire, des problèmes perso. Au mieux on a du roman social ou du film social, on le fait bien mais je trouve ça pauvre. On a des bons écrivains, de bons musiciens, de grands dessinateurs, on manque seulement d’imaginaire.

Quand même, au niveau de la production audiovisuelle, on est entré dans une nouvelle ère, une phase où il est beaucoup plus facile pour le créateur de faire bien, tout seul, avec ses petits moyens.

Oui, c’est tout à fait juste ce que tu dis. Là, je suis de mauvaise humeur et trop obsédé par mes colères, mais aujourd’hui c’est vrai qu’un film, on peut le faire avec rien.

Les succès de Donoma, de Djinn Carrénard, ou le Rengaine de Djaïdani, prouvent que c’est possible.

Oui c’est vrai. Très bons exemples.

Puisque les séries françaises vous horripilent, pourquoi ne pas écrire la vôtre ?

J’aimerais bien mais je veux la tourner. Je sais pas. C’est pas demain en tout cas. Il y a beaucoup de choses que j’aimerais faire. Lire des langues mortes, jouer du saxophone, parler l’araméen… J’en sais rien.

En attendant, vous vous réfugiez dans vos séries fétiches. Votre imaginaire vit dans Twin Peaks ?

Quand on regarde une série, on vit dedans. Enfin non, on vit pas dedans, on vit auprès d’elle. Dans Twin Peaks je me ferais buter, c’est sûr. Et qu’est-ce que je fouterais sur l’île de Lost ? Je me trouverais une copine ? Je sais pas…

Vous en rêvez la nuit ?

Bien sûr. Twin Peaks, combien de fois j’en ai rêvé ?

Vous revivez les épisodes ?

Pire, je vois des épisodes qui n’existent pas.

★★★★★

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Simon Bornstein
Simon Bornstein

Simon Bornstein est un étudiant en journalisme et auteur à succès. Né à Montréal, Canada, Simon a grandi dans une famille où l'on se passionnait pour l'écriture et le journalisme. Il a commencé à écrire à l'âge de dix ans et a publié son premier article à l'âge de seize ans dans un journal local. Après avoir obtenu son diplôme de journalisme de l'Université McGill, il a déménagé à Toronto en 2018 pour poursuivre ses études. Il a été accepté à l'école de journalisme Ryerson University, où il a pu étudier le journalisme de profondeur et le journalisme numérique. Lors de ses études, Simon a réalisé plusieurs projets, dont un mémoire sur l'utilisation des réseaux sociaux par les médias.

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