Le mardi 14 mars, Clément Beaune, ministre délégué en charge des Transports a été convié en tant qu’invité pour l’émission « 4 Vérités » sur la chaîne France 2. Durant l’interview, il a probablement parlé de plusieurs sujets en lien avec ses compétences ministérielles, tels que l’état des routes, le développement de nouvelles infrastructures ou encore les investissements nécessaires pour moderniser le réseau ferroviaire. Cependant, nous ne pourrons pas connaître en détail les déclarations de l’invité avant de visionner le programme complet de l’émission. En tout cas, il est à noter que les « 4 Vérités » font partie des émissions politiques les plus suivies dans la sphère audiovisuelle française.
Le mardi 14 mars, Clément Beaune, ministre délégué en charge des Transports, a participé à l’émission « Les 4 Vérités » sur France 2. Lors de son passage, il s’est exprimé sur différents sujets d’actualité.
La grève des éboueurs à Paris a été l’un des premiers sujets abordés. Clément Beaune a dénoncé l’inaction de la mairie de Paris sur ce dossier. Il a ainsi déclaré que la grève des éboueurs en elle-même ne le dérangeait pas, mais que le fait que la maire de Paris, Anne Hidalgo, fasse également grève posait problème. Clément Beaune a reproché à Anne Hidalgo de ne rien faire pour résoudre la situation.
Concernant la journée de mobilisation contre la réforme du mercredi 15 mars, Clément Beaune a prévenu qu’il y aurait des perturbations dans les transports en commun, mais qu’il n’y aurait pas de journée noire.
Le ministre délégué en charge des Transports est ensuite revenu sur la grève dans les raffineries. Il a qualifié cette situation de « motif de vigilance ». Clément Beaune a assuré qu’il n’y avait pas d’empêchement production et de livraison pour le moment. Cependant, si la situation venait à menacer la vie du pays, des mesures seraient prises, comme cela avait été le cas en octobre dernier.
Enfin, Clément Beaune a été interrogé sur la Commission mixte paritaire sur la réforme des retraites. Boris Vallaud, président du groupe PS à l’Assemblée nationale, a demandé que les travaux de la Commission soient publics. Clément Beaune a soutenu cette demande à titre exceptionnel. Il a cependant précisé qu’il ne souhaitait pas que cela soit interprété comme une volonté de faire croire à un travail secret.