La Cour pénale internationale (CPI) a émis un mandat d’arrêt contre le président russe, Vladimir Poutine, pour crime de guerre. Les accusations portent sur des actes de guerre présumés impliquant la Russie et la Syrie, notamment des bombardements de civils à Alep. La CPI a souligné que la décision a été prise après avoir examiné attentivement les preuves et les témoignages de témoins oculaires. Cette action sans précédent pourrait avoir des implications significatives pour les relations internationales de la Russie, tant en termes de diplomatie que de stratégie militaire.
La Cour pénale internationale (CPI) a émis un mandat d’arrêt contre le président russe, Vladimir Poutine, pour le crime de guerre de « déportation illégale » d’enfants ukrainiens lors de l’invasion russe en Ukraine. La CPI a également émis un mandat d’arrêt contre Maria Lvova-Belova, commissaire présidentielle russe aux droits de l’enfant, pour des accusations similaires. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a salué cette décision « historique, qui marque le début d’une responsabilité historique ». Les hauts responsables russes ont rejeté le mandat d’arrêt, estimant qu’elle n’avait aucune valeur juridique pour la Russie. Vladimir Poutine, qui recevra prochainement le président chinois Xi Jinping, est désormais passible d’une arrestation sur le territoire d’un des 123 Etats membres de la Cour.
Moscou et Pékin ont également annoncé la visite de Xi Jinping en Russie du 20 au 22 mars. Les deux dirigeants signeront une déclaration commune pour approfondir leur « relation stratégique entrant dans une nouvelle ère ». Ils parleront également de coopération « militaro-technique ». La Slovaquie a annoncé sa décision de fournir treize chasseurs MiG-29 à Kiev, après que la Pologne eut annoncé la livraison à l’Ukraine d’un « premier lot » de quatre de ces appareils. Ces livraisons « vont nous aider à défendre efficacement notre ciel », a déclaré le ministre ukrainien de la Défense, Oleksiï Reznikov. À la veille de l’expiration de l’accord international sur l’exportation des céréales d’Ukraine, l’ONU a indiqué que les discussions à ce sujet se poursuivent.