L’agence française Avisa Partners qui était autrefois admirée pour son succès est désormais confrontée à des difficultés grandissantes. En effet, des accusations de désinformation ont été portées contre elle, ce qui a entraîné son bannissement de la plateforme Wikipédia. Mais les problèmes ne s’arrêtent pas là, car certains services de l’État se distancient également de cette agence.
L’agence de communication Avisa Partners est confrontée à des critiques après avoir remporté un contrat avec la Commission européenne. La Fédération européenne des journalistes dénonce les pratiques de cette agence et appelle à ne pas favoriser les entreprises qui affaiblissent les journalistes. La Commission européenne affirme respecter les procédures légales mais enquête sur les accusations portées contre Avisa Partners.
L’article met ensuite en lumière le témoignage d’un ancien rédacteur de l’agence, Julien, qui révèle les coulisses de son travail. Julien a été embauché par Avisa Partners pour écrire des articles sur différents sujets. Cependant, il découvre rapidement que ses textes sont publiés sous de fausses identités sur divers sites web, y compris des médias réputés tels que le Club de Mediapart et le Huffington Post. Il se rend compte que ces articles sont en réalité des opérations d’influence commandées par des clients. Un autre rédacteur témoigne également, affirmant avoir été recruté par un professeur de journalisme qui travaillait pour Avisa Partners, sans lui révéler la véritable nature des publications.
Avant ces révélations, Avisa Partners était considérée comme une entreprise prometteuse avec des clients prestigieux tels que la Gendarmerie nationale et la plupart des entreprises du CAC 40. Les fondateurs de l’agence, Matthieu Creux et Arnaud Dassier, ont des parcours impressionnants, avec des liens avec la politique et les médias. Cependant, des faits passés remettent en question la façon dont ils utilisent internet à des fins d’influence et de communication.
L’article conclut en se demandant qui sont les clients d’Avisa Partners. Julien mentionne une commande visant à discréditer le Centre international de recherche sur le cancer, une agence de l’OMS qui avait classé un herbicide comme cancérigène probable. Il souligne ainsi l’importance de remettre en question la neutralité et l’indépendance des contenus produits par l’agence.
L’agence de communication Avisa Partners est au centre de la controverse. Elle vient de remporter un contrat avec la Commission européenne, mais la Fédération européenne des journalistes lui reproche d’affaiblir les journalistes en professionnalisant les « mercenaires de l’influence en ligne ». La Commission européenne affirme que les procédures légales ont été respectées, mais enquête sur les accusations portées contre Avisa Partners.
Un ancien rédacteur de l’agence, Julien, témoigne des pratiques douteuses. Il a été recruté pour écrire des articles sur différents sujets, mais les textes étaient ensuite publiés sous de fausses identités sur divers sites, y compris des médias réputés. Julien découvre que ces articles sont en réalité des opérations d’influence commandées par des clients. Un autre rédacteur témoigne également, affirmant avoir été recruté sans être informé de la véritable nature des publications.
Avant ces révélations, Avisa Partners était considérée comme une entreprise prometteuse avec des clients prestigieux tels que la Gendarmerie nationale et les entreprises du CAC 40. Les fondateurs de l’agence, Matthieu Creux et Arnaud Dassier, ont des liens avec la politique et les médias. Cependant, des faits passés remettent en question la façon dont ils utilisent internet à des fins d’influence et de communication.
L’article conclut en se demandant qui sont les clients d’Avisa Partners. Julien mentionne une commande visant à discréditer le Centre international de recherche sur le cancer, une agence de l’OMS qui avait classé un herbicide comme cancérigène probable. Il souligne l’importance de remettre en question la neutralité et l’indépendance des contenus produits par l’agence.