Close Menu
42mag.fr42mag.fr
  • À la une
  • Actualités
    • High-tech
    • People
    • Divertissement
    • Insolite
  • Politique
    • Économie
    • Écologie
    • France
    • Monde
    • Médias
    • Sciences et futur
    • Hack
  • Culture
    • Arts et littérature
    • Cinéma
    • Musique
    • Loisirs
    • Pensée
    • Sport
  • Bon à savoir
    • Automobile
    • Bricolage
    • Cuisine
    • Pratique
    • Santé
    • Le saviez-vous ?
    • Études
    • Records
  • Découvertes
    • Geekeries
    • Humour
    • Fun
    • Blagues & histoires drôles
    • Jeux
    • Vidéos
    • Interviews
    • Shopping geek & WTF
RSS Facebook X (Twitter) YouTube
mercredi 17 décembre - 16 h 32 min
  • Accueil
  • Qui sommes-nous ?
  • Contact
RSS Facebook X (Twitter) YouTube
Contribuer
42mag.fr42mag.fr
Newsletter
  • À la une
  • Actualités
    • High-tech
    • People
    • Divertissement
    • Insolite
  • Politique
    • Économie
    • Écologie
    • France
    • Monde
    • Médias
    • Sciences et futur
    • Hack
  • Culture
    • Arts et littérature
    • Cinéma
    • Musique
    • Loisirs
    • Pensée
    • Sport
  • Bon à savoir
    • Automobile
    • Bricolage
    • Cuisine
    • Pratique
    • Santé
    • Le saviez-vous ?
    • Études
    • Records
  • Découvertes
    • Geekeries
    • Humour
    • Fun
    • Blagues & histoires drôles
    • Jeux
    • Vidéos
    • Interviews
    • Shopping geek & WTF
42mag.fr42mag.fr
Accueil » Politique » France » Nicolas Sarkozy dément à nouveau les accusations de financement libyen après 13 ans
France Politique

Nicolas Sarkozy dément à nouveau les accusations de financement libyen après 13 ans

David BensoussanPar David Bensoussan19 mars 2025
"Cela fait 13 ans que j'ai sur mes épaules le poids de cette infamie" : Nicolas Sarkozy balaie à nouveau les accusations au procès des soupçons de financement libyen
Partager
Facebook Twitter LinkedIn Pinterest Email WhatsApp

Mercredi, Nicolas Sarkozy a une nouvelle fois affirmé qu’il n’était pas coupable, ce qu’il a déjà fait à plusieurs reprises depuis le lancement de son procès en janvier. C’était lors de son dernier interrogatoire avant que ne commencent les plaidoiries, sous le regard attentif de son épouse, Carla Bruni-Sarkozy.

Cette fois, Nicolas Sarkozy n’est pas venu seul au tribunal judiciaire de Paris. Le mercredi 19 mars, il s’est présenté accompagné de son épouse, Carla Bruni-Sarkozy, au procès portant sur les soupçons de financement par la Libye de sa campagne présidentielle de 2007. L’ex-président est l’un des douze accusés devant répondre des charges retenues contre eux depuis le 6 janvier au tribunal correctionnel de Paris, où il est accusé d’avoir conclu un « pacte de corruption » avec le défunt leader libyen Mouammar Kadhafi. En costume noir et chemise blanche, Nicolas Sarkozy prend position devant le micro pour répondre aux dernières questions posées par le tribunal et pour s’exprimer sur ce qu’il appelle les « points qui lui tiennent à cœur ». Dans l’assistance, son épouse écoute attentivement, marquant son intérêt.

Nathalie Gavarino, la présidente du tribunal, l’interroge d’abord au sujet de la vente d’Airbus en 2006 à la Libye, l’un des aspects de l’affaire impliquant l’intermédiaire franco-algérien Alexandre Djouhri. Ce dernier a témoigné le 13 mars avoir contribué au succès de ce contrat, une version contestée par plusieurs anciens dirigeants du groupe. Nicolas Sarkozy affirme n’avoir « jamais été impliqué » dans les négociations de ce contrat à l’époque où il était ministre de l’Intérieur, expliquant qu’il n’avait pas de raison de s’en occuper. Nathalie Gavarino l’interroge également sur ses interactions avec cet homme d’affaires, lui rappelant que « le dossier ne concerne pas uniquement sa personne ». Sur ce dernier point, l’ancien président réagit avec ironie en déclarant : « C’est une bonne nouvelle, Madame la présidente !»

Sommaire

Toggle
  • « Il ne s’agit pas d’un procès politique ! »
  • « Quel chemin dois-je parcourir pour convaincre ? »

« Il ne s’agit pas d’un procès politique ! »

« Madame la présidente, est-ce que je peux exprimer ce que j’ai sur le cœur ? », déclare ensuite Nicolas Sarkozy. Il commence par évoquer une interview du procureur national financier diffusée sur RMC et BFMTV avant le début du procès, où Jean-François Bohnert avait exprimé « une conviction de culpabilité qui mérite un procès ». Nathalie Gavarino précise que, bien qu’il ne soit pas nécessaire de prendre ces propos en compte, « le tribunal n’a pas préjugé de votre culpabilité », espérant que l’accusé n’a pas trouvé le procès trop expéditif. Nicolas Sarkozy remercie le tribunal de lui avoir donné l’occasion de « s’exprimer complètement ».

Le ton se durcit lorsque l’ex-président pousse sa déclaration un peu plus loin en développant « trois impressions » qu’il dit ressentir. « Cela fait 13 ans que je supporte cette accusation injustifiée », commence-t-il par déclarer. Il insiste en disant avoir le sentiment que « tout désignait qu’il fallait que ce soit lui » comme coupable.

« C’est un ressenti profond que l’on veut imputer la faute à Nicolas Sarkozy, qu’il est le seul responsable ! »

Nicolas Sarkozy

lors de l’audience

Il poursuit en expliquant qu’il semble que « à travers sa personne, c’est toute la classe politique qui est visée et que l’on veut punir ». S’emportant, il insiste : « Mais ce procès ne concerne pas la politique ! ». Enfin, il mentionne l’impression que « l’objectif était davantage de protéger l’institution que de chercher la vérité ». En gesticulant, il déclare : « Je suis ici, prêt à vous convaincre. Je le répète, je suis innocent : je n’ai jamais demandé un financement libyen pour ma campagne présidentielle de 2007 », affirme-t-il de nouveau.

« Quel chemin dois-je parcourir pour convaincre ? »

Nicolas Sarkozy réfute systématiquement les accusations portées contre lui, insistant sur l’absence de lien avec les autres accusés formant la coalition mafieuse qui lui est imputée. Il déclare : « Je n’ai jamais demandé à Brice Hortefeux ou à Claude Guéant de rencontrer Abdallah Senoussi », citant l’ancien chef des renseignements libyens, beau-frère de Kadhafi, condamné par contumace à la réclusion à perpétuité en France pour sa participation à l’attentat du DC-10 d’UTA. Les familles des victimes ont participé au procès en tant que parties civiles, et onze d’entre elles ont témoigné le 23 janvier. « Ce fut l’un des moments les plus marquants de cette audience », reconnaît Nicolas Sarkozy, tandis que quelques-unes d’elles prennent place non loin de lui.

« Je n’ai jamais entretenu de relations proches avec Monsieur Takieddine. Quant à Thierry Gaubert, nos liens se sont distendus il y a trente ans », ajoute l’accusé, affirmant qu’aucun d’eux ne lui a « jamais donné le moindre centime ». Il martèle : « Ma campagne n’a reçu aucun financement illicite ».

« Peut-être dois-je admettre une erreur devant ce tribunal : jamais je n’aurais pensé qu’après treize ans, ma mise en accusation serait encore examinée ici. C’est une erreur car tel est le cas. »

Nicolas Sarkozy

lors de l’audience

Nicolas Sarkozy avoue qu’il regrette avoir permis la diffusion de l’idée, « absurde et fausse », que la conséquence du supposé pacte de corruption était « la réintégration de la Libye sur la scène internationale ». Il s’interroge : « Pourquoi ai-je manqué de discernement, Madame la présidente ? Car je suis innocent. » Puis, il demande : « Jusqu’à quel point dois-je aller pour me disculper ? » Il assure : « Je suis ici pour défendre mon honneur, je n’ai reçu aucun financement libyen pour ma campagne », martèle-t-il, comme il l’avait déjà fait lors de sa première audience le 9 janvier. “La question de la culpabilité, c’est le rôle du tribunal de trancher et de personne d’autre. Nous en discuterons », répond l’un des trois procureurs du parquet national financier. Leurs réquisitions, d’une durée prévue de deux jours et demi, doivent débuter mardi après-midi.

★★★★★

Article précédent2026 Valonniers de la Coupe du monde: Draw Cameroun à Eswatini comme Oblivion face au Nigéria
Article suivant Déficit, transition écologique : inaction coûte 15% du PIB mondial, plus que les efforts nécessaires
David Bensoussan
David Bensoussan
  • Site internet

David Bensoussan est un entrepreneur français et le fondateur webzine 42mag.fr. Il est un passionné des nouvelles technologies. David Bensoussan a commencé sa carrière en tant qu'entrepreneur en 2003. Il a fondé et dirigé plusieurs entreprises et startups, y compris 42mag.fr. Il a aussi travaillé dans le secteur des médias et des technologies de l'information. David est un défenseur de l'innovation et de l'entrepreneuriat. Il est un fervent défenseur de la liberté d'expression et de la créativité.

Vous aimerez aussi :
Hausse de la taxe foncière : Sébastien Lecornu tente de calmer la colère avec l'annonce d'"une consultation flash"
Taxe foncière : Lecornu tente de calmer la colère avec une consultation flash
Narcotrafic : LFI veut "légaliser le cannabis" pour "enlever des mains des trafiquants leur manne financière", dit Ugo Bernalicis
Narcotrafic : LFI veut légaliser le cannabis pour couper la manne financière des trafiquants
Narcotrafic : "Plutôt que de chasser le consommateur, il faut concentrer les moyens dans le démantèlement des réseaux", selon Manuel Bompard, élu LFI des Bouches-du-Rhône
Narcotrafic: Manuel Bompard prône le démantèlement des réseaux plutôt que la chasse au consommateur
Après le rejet du texte, quelles options restent-ils pour doter la France d'un budget ?
Rejet du texte : quelles options pour doter la France d’un budget ?
:
    Vidéo




  



  




  
  "Une nouvelle fois, on va faire porter le chapeau aux jeunes" : comment les mensonges des autorités ont mené aux émeutes des banlieues en 2005
Jeunes: mensonges des autorités et émeutes des banlieues 2005
En arrivant à l'Élysée, Emmanuel Macron "a tout de suite érigé le renseignement économique comme une priorité", racontent les auteurs de livre-enquête "Les espions du président"
Macron fait du renseignement économique sa priorité dès son arrivée à l’Élysée
Commenter cet article
Laisser un commentaire Cancel Reply

À la une
Consulter en toute confiance un médecin en ligne grâce aux plateformes de téléconsultation médicale
Consulter en toute confiance un médecin en ligne grâce aux plateformes de téléconsultation médicale
12 décembre 2025
Magnet photo : une touche personnelle et créative pour sublimer son quotidien
Magnet photo : une touche personnelle et créative pour sublimer son quotidien
17 octobre 2025
Trois tonnes de cigarettes de contrebande saisies à Clermont-Ferrand : le marché noir en plein essor
Trois tonnes de cigarettes de contrebande saisies à Clermont-Ferrand : le marché noir en plein essor
10 octobre 2025

Newsletter
42mag.fr

Derniers articles
Consulter en toute confiance un médecin en ligne grâce aux plateformes de téléconsultation médicale
12 décembre 2025
Record hallucinant : 133 millions d’euros le kilo — la vente la plus chère de tous les temps qui fait trembler les enchères
11 décembre 2025
Taxe foncière : Lecornu tente de calmer la colère avec une consultation flash
28 novembre 2025
Hausse des prix des carburants à la pompe de 4 à 6 centimes par litre dès le 1er janvier selon UFIP
28 novembre 2025
Narcotrafic : LFI veut légaliser le cannabis pour couper la manne financière des trafiquants
28 novembre 2025
42mag

42mag.fr est le webzine de l’actualité insolite et high-tech, mais c’est aussi une source de découverte et d’humour. Geeks, curieux, découvrez chaque jour de nouveaux articles insolites, humoristiques et buzz !

Newsletter
42mag.fr

Protégé par Copyscape
RSS Facebook X (Twitter) YouTube
Actualités
  • High-tech
  • People
  • Divertissement
  • Insolite
Bon à savoir
  • Études
  • Le saviez-vous ?
  • Records
Découverte
  • Geekeries
  • Humour
  • Fun
  • Blagues & histoires drôles
© 2025 42mag.fr – Toute reproduction interdite – [email protected]
  • À propos
  • Mentions légales
  • Contact

Taper un ou plusieurs mots puis appuyer sur Entrer pour lancer la recherche. Appuyer sur Echap pour annuler.

Newsletter
42mag.fr