« Ce n’est pas mon initiative, cependant, je suis convaincue que nous aurons une excellente personne en tête de liste », a confié la dirigeante du gouvernement lors d’un échange mardi avec les abonnés du journal « Les Dernières Nouvelles d’Alsace ».
Clôture des suppositions
Le mardi 21 novembre, Elisabeth Borne, la Première ministre, a mis un terme aux suppositions en refusant d’être le chef de file de la majorité lors des élections européennes de juin 2024. Ce faisant, elle a dissipé les bruits de couloir concernant sa potentielle candidature.
Selon la Première ministre, « Il n’est pas dans mes plans d’être candidate, mais j’ai confiance que nous aurons un(e) excellent(e) candidat(e) pour représenter les projets en lesquels nous croyons fortement « . C’est ce qu’elle a affirmé lors d’un entretien avec les lecteurs des Dernières nouvelles d’Alsace, lors de son déplacement à Strasbourg.
Revelation prévue « en temps voulu »
La possible candidature de Borne est souvent associée à un éventuel remaniement ministériel. Après plusieurs semaines de conjecture lors du printemps, et avec la confirmation de la Première ministre en juillet, ces bruits de couloir refont surface.
Il y a également plusieurs noms qui sont évoqués pour diriger la liste de la majorité. Parmi eux, il y a Stéphane Séjourné, qui est à la tête du parti présidentiel Renaissance et siège actuellement au Parlement européen, Thierry Breton, commissaire européen, ou encore Laurence Boone, secrétaire d’État chargée des Affaires européennes.
Elisabeth Borne a signalé au début du mois que la désignation de la personne qui conduira la liste de la majorité se fera « en temps voulu ».







