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Accueil » Politique » Économie » Contrepoints, la fistinière financière
À la une Économie Politique

Contrepoints, la fistinière financière

Simon BornsteinPar Simon Bornstein24 février 2023
Contrepoints, la fistinière financière
Contrepoints, la fistinière financière
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La devise de ce site est : « le nivellement par le haut ». Rien n’est plus vil que le mépris du peuple. Peu de concepts sont plus abscons que l’ignorance. Mâtinez l’un de l’autre, saupoudrez avec des cancres, réchauffez le tout au four d’Internet. Voilà la recette de Contrepoints.

Quand on souhaite avoir un peu de flamboyance, il faut être instruit, sans quoi il est aisé de tomber dans le kitsch. Votre site donne l’impression que ses auteurs sont des impuissants plongés dans le bordel libéral. Sans virilité intellectuelle aucune, vous vous émerveillez de vos compagnons plus fortunés et intelligents que vous qui honorent, du soir au matin, la catin populaire. Vous fantasmez. Et vous vous masturbez. De l’onanisme sur le Web, plus fort que Youporn.

L’appel du 18 juin, version cancres

Quand il lit le sémillant article Pourquoi il faut quitter la France, un ulcère intellectuel et physiologique atteint l’auteur de ces lignes. Publié le 24 décembre, ce torchon pixelisé stipule « [qu’] il apparaît désormais que le seul salut sera dans l’exil. » Le salut dans l’exil, une référence gaullienne, pour se donner une quelconque contenance. À peine remis de cette introduction « don-quichottesque », le lecteur est ensuite ravi d’apprendre que la France serait un pays « de provenance saint-simonienne, marxiste et catholique, le tout se mêlant joyeusement dans un immonde magma. » Il est magique de donner une définition à la France à travers une ligne sur Internet, quand on ne semble pas (ou mal) avoir lu Renan, Todd ou d’autres. Péremptoire, et nullement synthétique. Vite, une punchline pour les libéraux, une ! Allez, définir la France en trois attributs, bravo ! Car l’auteur révèle juste après le fond de sa pensée. Il déplore que l’impôt soit appelé « effort patriotique. » Nul besoin de débattre de cette antienne, qui a délivré dans les débats l’épithète le plus con du monde, id est « confiscatoire. » Ce n’est pas ici que sera évoquée la justesse de tel ou tel impôt. L’un de nos économistes maison le fait avec talent ici.

La suite de la litanie de l’article trouve sa pierre angulaire en ces propos :

« Quitter la France ensuite, et cela est lié à mon premier point, pour conserver le fruit de votre travail, votre propriété. En France, on peut désormais être taxé au-delà de 100% de ses revenus réels par la réintégration fiscale des plus-values latentes notamment. Ne parlons même pas de l’inflation qui aggrave l’équation quand elle est prise en compte. »

Et l’auteur d’invoquer l’inflation, comme argument. Ce que notre cher ami doit ignorer (parce qu’il ne doit pas gagner assez d’argent), c’est que le problème de l’inflation dans la réintégration des plus-values dites « latentes » a été résolu depuis belle lurette par les départements « banque privée » des grands établissements financiers, à savoir les départements qui gèrent la thune des particuliers friqués. Il existe ce que l’on appelle des caps inflation qui permettent de se couvrir aisément contre le risque de hausse de celle-ci.

Par suite, le style millimétré et ampoulé atteint son paroxysme au travers de l’anaphore « heureux contribuable ». France, « pays de l’inculture économique par excellence » ? L’économie est encore une science molle, mon vieux, une discipline qui se construira au fur et à mesure du temps (lis un peu Bachelard, tu y gagneras peut-être), et c’est tant mieux. La France est le pays des sciences dures, Mathématiques, Physique, voire Philosophie en tête de bille : dans ce pays, contrée du marquis de Sade et d’Évariste Galois, monsieur, on ne bande pas mou, surtout dès qu’il s’agit d’intellect. Enfin, pas tous.

N’est pas Stirner qui veut, coco

Le point Godwin est atteint via l’évocation du « totalitarisme collectiviste. » Vous évoquez, les yeux embués d’idéologie, que les pays voisins seraient enclins à « moins d’État. » Faux. Archi-faux. L’Allemagne préserve les intérêts de ses propres industriels via l’action de son exécutif dans l’Union Européenne. L’Espagne ajoute de la taxation, ce qui provoque un effet dépréciatif des ventes au détail  (via la TVA, qui demeure l’impôt le plus injuste). Et la liste est loin d’être exhaustive. Enfin, vous délivrez goulûment et sans fléchir vos flèches rouillées à la Bête Immonde, la SÉCURITÉ SOCIALE. Sus à la vilaine sangsue, enviée de par le monde entier ! Sus à la pieuvre tentaculaire , protégée par « nos cracks de l’économie » ! Si enclin à critiquer lesdits « cracks », qui, on l’espère, possèdent une réflexion de plus ample amplitude que votre promptitude à cracher votre venin sur les autres. Vous évoquez, non sans attendrissement, ces hordes de mauvais élèves à l’école, qui se rassuraient en soulignant les titres en rouge et les sous-titres en vert, et qui surlignaient religieusement en jaune toutes les phrases du cours, car « toutes les phrases du prof sont importantes. » Des cancres. Non des cancres rêveurs, impertinents, drôles ou fouteurs de merde. Des cancres fascinés par les premiers de la classe, et rejetés par ces derniers.

La France, mise en danger par la Sécu et l’impôt, emprunte pour moins cher depuis 12 ans : sympa le déclin !

Récapitulons : selon vous, la France, envahie par les staliniens gauchistes depuis le 6 mai 2012, serait donc en proie aux vampires fiscalistes. Plein de noblesse, vous conseillez aux roturiers d’agiter la gousse d’ail de l’exil pour se barrer. Vous vous définissez comme libéraux. Soit. On peut donc en déduire, sans perte de généralité, que vous vous basez sur les chiffres liés à l’offre et à la demande. Donc le marché. Cela tombe bien, nous aussi. Sauf que les chiffres ne seront pas usités ici à des fins idéologiques. On se contente de montrer les faits.

Observons le taux d’intérêt de la France. Plus il est bas, et plus les investisseurs considèrent le pays comme en bonne santé. Regardons un instant les rendements offerts à la France, à chaque adjudication, id est à chaque fois que le Trésor français emprunte de l’argent dans le marché obligataire primaire.

Petit graphique pour vous montrer dans les faits que votre idéologie représente, en termes pécuniaires, un mauvais investissement.

On observe, depuis 1999, une baisse du taux d’intérêt français. Et encore, il s’agit ici d’un taux d’intérêt pondéré par la maturité de chaque obligation. En 2012, on a même assisté à des taux d’intérêts négatifs pour les maturités courtes. Les investisseurs n’étaient visiblement pas choqués du tournant bolchevique de mai 2012, voyez-vous ; ils étaient même prêts à perdre un peu de pognon, sur des durées très courtes, pour obtenir de la dette française.

Une notation obsolète

Vous arguerez que les agences de notation ont dévalué la note de la France, en bons libéraux moutonniers que vous êtes. Sauf que les agences de notation sont dépassées dès lors qu’il s’agit d’évaluer la dette d’un État. En effet, il s’agit de dettes « souveraines » (terme qui laisse songeur…), donc liquides, très disponibles sur le marché. Les anticipations d’agences comptent peu dans l’évaluation des dettes des États, tant celles-ci apportent intrinsèquement assez d’information.

Les marchés obligataires se foutent de l’idéologie. Il y est question d’organisation de l’offre et de la demande. Typiquement, au sein des salles de marchés, à chaque « réunion de la dernière chance », l’on peut déplorer le manque de direction de l’Europe. Le manque de direction, les gars : n’y verrait-on pas la volonté d’un ersatz de régulation, concept tant décrié çà et là sur votre site ? Le marché, votre Veau d’Or, vous conchie. De manière pragmatique, votre alibi vous laisse vous prélasser dans la morve gélatineuse de votre libéralisme idéologisé.

Non, il est malpropre et non rigoureux de dire « il faut quitter la France » du point de vue du marché de la dette.

« Je te tiens, tu me tiens, par la zigounette » : introduction à la corrélation

Et, à tout hasard, si vous souhaitez partir ailleurs, juste une chose : la mondialisation heureuse dont vous vous faites régulièrement l’écho n’est qu’un vaste domino chancelant, où, si l’un des éléments tombe, les autres suivent. Vous aurez beau élever des chèvres cocaïnomanes à Mexico, si la France a de la fièvre, vous éternuerez également. Pour preuve une notion qu’il vous faut imprimer : la corrélation. Celle-ci, dans sa version Pearson, est une quantité statistique qui mesure la dépendance entre deux ou plusieurs actifs financiers, et évolue entre -100% (dépendance inverse : quand une entité va mal, l’autre est au top) et 100% (la chute d’une entité entraîne systématiquement le déclin de l’autre).

Observons donc les variations croisées du CAC 40 (indice français représentatif des performances des plus grandes sociétés françaises, en noir ci-contre), et du S&P 500 (américain, en rouge), et ce depuis août 2009.  Ne voyez-vous pas, à l’œil nu, une dépendance ? Une tenue mutuelle de couilles ? La mauvaise foi n’ayant pas de limites, l’évolution de cette fameuse corrélation depuis 2009 est tracé (corrélation dite glissante 1 mois).

Ne remarquez-vous pas à quel point cette corrélation a augmenté depuis de 20% à près de 70% en 2009 ? Barrez-vous, courez, nous  autres gueux hexagonaux resterons ici, mais, si par malheur il arrivait quelque chose à notre portefeuille, le vôtre en serait grandement affecté. Vous qui aimez les punchlines à l’anglaise, en voici une : you snooze, you lose.

Que voulez-vous de plus ?

En France, l’absence d’État a conduit à des ententes oligarchiques entre opérateurs téléphoniques qui ne pouvaient avoir lieu aux États-Unis, au vu des lois anti-trust. Les États-Unis seraient-ils devenus de dangereux Khmers Rouges ? En France, il a été possible de refourguer tranquillement des instruments financiers complexes à des collectivités, dont les pertes sont jusqu’à aujourd’hui assumées par le contribuable que vous prétendez chérir.

La fabuleuse main invisible que vous défendez n’est qu’un poing dans la face des peuples, une manière pour les dominants de préserver leurs intérêts. Le politique doit infléchir l’économique, sans quoi celui-ci ne devient qu’un jeu d’échecs pour gloutons. Aurait-on dû laisser les instruments dérivés de crédit liés à l’immobilier américain, produits financiers fichtrement sclérosés, lépreux — et mal évalués mathématiquement parlant — être notés AAA par les fabuleuses agences de notation ? Et, si vous étiez rigoureux dans votre libéralisme, vous ne défendriez pas avec un tel acharnement l’abolition des droits de succession.

Soyez intellectuellement honnêtes : en allant jusqu’au bout de votre raisonnement, vous auriez pu défendre l’Espagnole qui a proposé la vente de ses organes non-vitaux. Il n’en n’est pas fait mention dans vos articles, de ce que l’on peut observer. Pas trop d’indignation ni de réjouissance vis-à-vis de l’augmentation exponentielle du nombre de suicides en Grèce non plus. Vous préférez jouer à vous faire peur avec la venue de Hollande au pouvoir. La Chine, qui doit représenter pour vous un Graal de droit du travail, est confrontée à des mouvements sociaux de plus en plus fréquents. À tel point que certaines entreprises locales envisagent de délocaliser vers des pays voisins, pour cause de… coût du travail trop élevé ! Pour finir, il peut exister d’excellents articles dans Contrepoints, sur des sujets divers et variés : sciences, culture, etc. Mais s’il faut passer par moult circonvolutions et raccourcis intellectuels pour en dénicher un, non merci.

Contrepoints n’est pas aux commandes, mais bel et bien dans l’observation.

★★★★★

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Simon Bornstein
Simon Bornstein

Simon Bornstein est un étudiant en journalisme et auteur à succès. Né à Montréal, Canada, Simon a grandi dans une famille où l'on se passionnait pour l'écriture et le journalisme. Il a commencé à écrire à l'âge de dix ans et a publié son premier article à l'âge de seize ans dans un journal local. Après avoir obtenu son diplôme de journalisme de l'Université McGill, il a déménagé à Toronto en 2018 pour poursuivre ses études. Il a été accepté à l'école de journalisme Ryerson University, où il a pu étudier le journalisme de profondeur et le journalisme numérique. Lors de ses études, Simon a réalisé plusieurs projets, dont un mémoire sur l'utilisation des réseaux sociaux par les médias.

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