Gérard Larcher, le chef de l’assemblée haute, le Sénat, a été invité à participer à l’émission « Les 4 Vérités » de France 2, le jeudi 2 mars. Il sera l’invité d’honneur pour discuter des sujets qui intéressent la population. Cette émission est une plateforme pour les personnalités politiques, qui leur permet de s’exprimer sur des questions importantes et de partager leur opinion. Les téléspectateurs auront ainsi l’occasion de mieux connaître le président du Sénat et de mieux comprendre les prises de position qu’il défend.
Le projet de réforme des retraites se présente au Sénat. Gérard Larcher, président du Sénat, a déclaré lors de l’émission « 4 Vérités » de France 2, jeudi 2 mars, que « le rôle du Parlement, c’est de débattre, de délibérer et de voter ». Il a ajouté que « le modèle des retraites, nous avons le devoir impératif, si nous voulons le défendre, qu’il soit à l’équilibre ». Le chef du groupe LR au Sénat, Bruno Retailleau, souhaite la fin des régimes spéciaux dès 2025. Cependant, Gérard Larcher estime que « à l’intérieur de la majorité sénatoriale, il y a des positions différentes. […] Personnellement, je pense qu’il faut aller vers une convergence, sans doute plus progressive que celle que nous avions prévue pour 2033 ». Il a ensuite précisé que « 2040, je le dis. Ce n’est pas une condition du soutien à ce texte que la fin des régimes spéciaux ». En ce qui concerne la réception de la réforme par les Français, le président du Sénat estime que « sans doute le gouvernement a péché par absence de pédagogie, mais aussi l’Assemblée nationale, dans ces débats un peu chaotiques ».
Le processus de réforme des retraites est arrivé au Sénat. Gérard Larcher, président du Sénat, a déclaré lors de l’émission « 4 Vérités » de France 2, jeudi 2 mars, que « le rôle du Parlement, c’est de débattre, de délibérer et de voter » et qu’« le modèle des retraites, nous avons le devoir impératif, si nous voulons le défendre, qu’il soit à l’équilibre ». Bruno Retailleau, chef du groupe LR au Sénat, souhaite que les régimes spéciaux soient supprimés dès 2025. Cependant, Gérard Larcher pense que « à l’intérieur de la majorité sénatoriale, il y a des positions différentes. […] Personnellement, je pense qu’il faut aller vers une convergence, sans doute plus progressive que celle que nous avions prévue pour 2033 ». Il a ajouté que « 2040, je le dis. Ce n’est pas une condition du soutien à ce texte que la fin des régimes spéciaux ». En ce qui concerne la manière dont les Français ont reçu la réforme, le président du Sénat estime que « sans doute le gouvernement a péché par absence de pédagogie, mais aussi l’Assemblée nationale, dans ces débats un peu chaotiques ».